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Let's Talk About Sex

É.-U. 1998. Comédie de moeurs de Troy Beyer avec Troy Beyer, Paget Brewster, Randi Ingerman. Trois copines qui vivent chacune des problèmes sentimentaux préparent un talk-show féminin sur la sexualité et les relations entre hommes et femmes. Scénario maladroit et superficiel. Réalisation peu maîtrisée. Interprétation plus sincère que talentueuse.

16 ans + (érotisme)
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Let's Talk About Sex (Let's Talk About Sex)

16 ans + (érotisme) 16 ans + (érotisme)

É.-U. 1998. Comédie de moeurs de Troy Beyer avec Troy Beyer, Paget Brewster, Randi Ingerman.

Trois copines qui vivent chacune des problèmes sentimentaux préparent un talk-show féminin sur la sexualité et les relations entre hommes et femmes. Scénario maladroit et superficiel. Réalisation peu maîtrisée. Interprétation plus sincère que talentueuse.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Jazz est une jeune journaliste qui veut vendre un concept de talk-show féminin à une station de télévision. Pour ce faire, elle décide de tourner un prototype de cette émission en se servant d'une caméra vidéo. Avec l'aide de ses deux colocataires, Jazz fait des entrevues avec des femmes choisies au hasard dans la rue sur des thèmes comme la sexualité et les relations entre hommes et femmes. Par ailleurs, les trois jeune femmes traversent diverses crises sentimentales et familiales. Elles peuvent heureusement compter sur leur amitié pour surmonter ces épreuves.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré le style documentaire qu'empruntent les scènes d'entrevues, le film ne parvient jamais à atteindre un quelconque degré de réalisme. Aussi, il devient vite évident que même la partie soi-disant documentaire du film est jouée par des acteurs. À l'instar du talk-show que prépare l'héroïne, le film est une sorte de forum où des personnages féminins échangent divers propos sur leurs préférences sexuelles et leurs relations avec les hommes. Le discours est réduit le plus souvent à des répliques à l'emporte-pièce qui transforment rapidement l'exercice en séance de défoulement simpliste. À travers tout cela, la cinéaste introduit des scènes dramatiques décrivant les problèmes sentimentaux et familiaux des trois héroïnes. Ces scènes sont maladroitement écrites, superficielles et criblées de clichés. Le manque de maîtrise de la réalisation rend encore plus pénible ce ratage. Les interprètes jouent avec plus de sincérité que de talent.

Texte : Martin Girard

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