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La Grande Aventure de Barney (Barney's Great Adventure)

É.-U. 1998. Comédie fantaisiste de Steve Gomer avec George Hearn, Shirley Douglas, Trevor Morgan. Un dinosaure en peluche mauve haut de deux mètres entraîne des enfants dans une aventure magique. Produit routinier issu d'une série télévisée. Scénario sans imagination prétexte à des numéros musicaux. Réalisation adéquate mais paresseuse. Interprétation dans le ton.

Général
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La Grande Aventure de Barney (Barney's Great Adventure)

Général Général

É.-U. 1998. Comédie fantaisiste de Steve Gomer avec George Hearn, Shirley Douglas, Trevor Morgan.

Un dinosaure en peluche mauve haut de deux mètres entraîne des enfants dans une aventure magique. Produit routinier issu d'une série télévisée. Scénario sans imagination prétexte à des numéros musicaux. Réalisation adéquate mais paresseuse. Interprétation dans le ton.

Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
Cody, neuf ans, trouve le temps bien long durant ses vacances à la ferme de ses grands-parents. En attendant, il s'amuse à taquiner sa soeur Abby et l'amie de celle-ci, Marcella, en cachant Barney, leur dinosaure en peluche mauve. Mais ce dernier réapparaît complètement transformé. Mesurant deux mètres, parlant, chantant et dansant, Barney les entraîne dans une aventure rocambolesque à la poursuite d'un oeuf magique renfermant un faiseur de rêve, ce qui enchantera même le blasé Cody.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce produit routinier s'adresse bien sûr aux très jeunes enfants, entre deux et cinq ans, qui ne manqueront pas de reconnaître leur compagnon en peluche préféré, surtout s'ils ont déjà regardé la série télévisée de Barney ou les cassettes vidéo déjà sur le marché. Toutefois, pour un film qui proclame haut et fort le pouvoir de l'imagination, cette qualité fait singulièrement défaut tant dans le récit que dans la réalisation. Servant de prétexte à enchaîner des numéros musicaux sans envergure, le scénario se contente de recycler des situations déjà maintes fois exploitées ailleurs, même par la série Barney. Le réalisateur ne fait qu'illustrer le tout, adéquatement mais paresseusement, ne profitant même pas de la variété des couleurs que suggèrent les différents personnages. Malgré tout, il règne dans l'ensemble une atmosphère joyeuse et débonnaire qui ravira les tout-petits. Les jeunes interprètes possèdent l'énergie souhaitée, sans se démarquer pour autant.

Texte : André Caron

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