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Embrasser un imposteur (Kissing a Fool)

É.-U. 1998. Comédie sentimentale de Doug Ellin avec Jason Lee, Mili Avital, David Schwimmer. Afin de tester la fidélité de sa fiancée, un commentateur sportif demande à son meilleur ami de faire des avances à celle-ci. Intrigue sans surprise. Quelques rares idées dans le traitement. Réalisation banale de style télévisuel. Interprétation assez convaincante de J. Lee.

13 ans + (langage vulgaire)
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Embrasser un imposteur (Kissing a Fool)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1998. Comédie sentimentale de Doug Ellin avec Jason Lee, Mili Avital, David Schwimmer.

Afin de tester la fidélité de sa fiancée, un commentateur sportif demande à son meilleur ami de faire des avances à celle-ci. Intrigue sans surprise. Quelques rares idées dans le traitement. Réalisation banale de style télévisuel. Interprétation assez convaincante de J. Lee.

Année :
Durée :
Réalisation :
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Distributeur :
Universal
Le commentateur sportif Max Abbitt est un play-boy qui collectionne les conquêtes féminines. Lorsque son ami Jay, un jeune écrivain, lui présente son éditrice Samantha, c'est le coup de foudre! Max s'engage dans une relation sérieuse avec la jeune femme et lui propose même le mariage. Mais avant de s'unir pour la vie avec Samantha, Max veut s'assurer qu'elle l'aime d'un amour sincère. Aussi, afin de tester la fidélité de sa fiancée, Max demande à Jay de lui faire des avances.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le film débute sur une scène de mariage montrant Samantha qui épouse un des deux héros sans que la caméra ne révèle l'identité de celui-ci. On remonte alors dans le temps pour découvrir la genèse de ce mariage dans une série de flash-back. L'auteur veut ainsi maintenir un suspense quant à savoir si la jeune femme va tomber amoureuse de Max ou de Jay. Mais en vain. L'intrigue ne contient pas la moindre surprise. Quelques rares idées surgissent parfois dans le traitement, mais elles font trop souvent penser à des concepts similaires employés avec bien plus de talent par Woody Allen. D'ailleurs le personnage de Jay, un jeune écrivain torturé par ses mésaventures amoureuses, ressemble à une pâle copie du héros névrosé qu'Allen joue de film en film. La réalisation ne s'élève jamais au-dessus du niveau d'une banale comédie télévisée, avec ses champs/contre-champs à n'en plus finir. Jason Lee domine la distribution avec une interprétation assez convaincante.

Texte : Martin Girard

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