Vacances à Vegas (Vegas Vacation)

Name: Vacances à Vegas
Director: Stephen Kessler
Genre: Comédie
Duration: 98 min.

É.-U. 1997. Comédie de Stephen Kessler avec Chevy Chase, Beverly d'Angelo, Randy Quaid. Les tribulations d'une famille qui passe ses vacances à Las Vegas, capitale du jeu et du vice. Exploitation des poncifs du genre. Mise en scène sans inventivité. Humour quelquefois grossier. Interprétation dans le ton.

Vacances à Vegas (Vegas Vacation)

Général

É.-U. 1997. Comédie de Stephen Kessler avec Chevy Chase, Beverly d'Angelo, Randy Quaid.

Les tribulations d'une famille qui passe ses vacances à Las Vegas, capitale du jeu et du vice. Exploitation des poncifs du genre. Mise en scène sans inventivité. Humour quelquefois grossier. Interprétation dans le ton.

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Genre :

Comédie

Année :

1997

Durée :

98 min.

Réalisation :

Stephen Kessler

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Chevy Chase
Beverly d'Angelo
Randy Quaid

Clark Griswold, personnage naïf, mais néanmoins mari loyal, bon père de famille et travailleur dévoué, décide d'emmener les siens en vacances à Las Vegas. Convaincu que ce séjour resserrera les liens des Griswold, Clark mise sur le caractère familial de ce séjour. Or l'attrait du gain facile, la débauche de la ville et les nombreux autres appâts de Las Vegas auront tôt fait de disloquer la famille et de piétiner les bonnes résolutions de Clark.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La famille Griswold reprend du service! Seize ans après leurs premières vacances dans le NATIONAL LAMPOON'S VACATION et six ans après le dernier épisode, Clark, Ellen et leurs deux enfants se retrouvent cette fois à Las Vegas. S'inscrivant dans le même esprit, Vacances à Vegas se contente d'exploiter à fond une formule pseudo-burlesque qui ne parvient pas toujours à éviter le grossier et qui se borne à donner au spectateur peu exigeant un divertissement bon marché. À signaler, cependant, la présence de certains éléments qui font surgir une certaine critique de la société nord-américaine et de sa fascination pour le clinquant et le gain facile. Ainsi, sous couvert d'un happy end moralement acceptable, le film souligne (à gros traits, certes) le caractère apparemment irréversible de la désintégration de la cellule familiale et de la perte des valeurs traditionnelles. Très à l'aise dans ce registre, Chevy Chase et Beverly d'Angelo proposent une interprétation dans le ton mais sans surprises.

Texte : Carlo Mandolini

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