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Under the Skin

G.-B. 1997. Drame psychologique de Carine Adler avec Samantha Morton, Claire Rushbrook, Rita Tushingham. À la mort de sa mère, une jeune femme traverse une période de crise qu'elle tente d'apaiser par un comportement sexuel débridé. Récit quelque peu convenu. Scénario sans relief. Mise en scène en accord avec le propos du film. Bonne interprétation de S. Morton.

16 ans + (érotisme)
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Under the Skin (Under the Skin)

16 ans + (érotisme) 16 ans + (érotisme)

G.-B. 1997. Drame psychologique de Carine Adler avec Samantha Morton, Claire Rushbrook, Rita Tushingham.

À la mort de sa mère, une jeune femme traverse une période de crise qu'elle tente d'apaiser par un comportement sexuel débridé. Récit quelque peu convenu. Scénario sans relief. Mise en scène en accord avec le propos du film. Bonne interprétation de S. Morton.

Année :
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Distributeur :
Del Fuego
À la mort de leur mère, emportée par un cancer en quelques semaines, Iris et Rose traversent une période de deuil marquée par la dépression et la rivalité. Iris, la vingtaine un peu marginale, se persuade que sa mère lui préférait Rose, l'aînée, qui mène une vie plus rangée. Perturbée par cette perspective, elle va tenter un ultime effort d'affirmation en se lançant corps et âme dans une existence toujours plus singulière, marquée par l'alcool et une sexualité débridée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour son premier long métrage, la réalisatrice Carine Adler entreprend de sonder l'âme humaine en cherchant à comprendre ce qui se cache derrière certains comportements - en l'occurrence sexuels - que l'on pourrait qualifier de "débridés". Dans UNDER THE SKIN, ces comportements sont provoqués par la perte de repères psychologiques, affectifs et moraux, ce qui précipite la jeune protagoniste dans un mode de vie qui la consume. Si l'idée est intéressante, quoi que connue, le scénario ne parvient pas à soutenir le propos. D'une part parce que le récit ne propose rien de vraiment nouveau, ensuite parce que le film a tendance à faire du surplace et à rester en superficie, ce qui empêche l'élaboration d'un discours vif et convaincant sur les motivations des personnages. À la mise en scène, l'utilisation d'une esthétique expressionniste et d'une caméra très mobile rendent cependant assez bien l'angoisse de la protagoniste que la jeune Samantha Morton interprète avec une intensité tout à fait remarquable.

Texte : Carlo Mandolini

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