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Turbo: A Power Rangers Movie

É.-U. 1997. Drame fantastique de Shuki Levy, David Winning avec Johnny Yong Bosch, Nakia Burrise, Steve Cardenas. De jeunes justiciers aux pouvoirs fantastiques combattent une pirate de l'espace qui cherche à libérer un monstre terrifiant emprisonné dans un volcan. Film de série. Récit sans queue ni tête. Suite d'affrontements maladroitement illustrés. Traitement puéril et manichéen. Médiocrité de la réalisation et de l'interprétation.

Général
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Turbo: A Power Rangers Movie (Turbo: A Power Rangers Movie)

Général Général

É.-U. 1997. Drame fantastique de Shuki Levy, David Winning avec Johnny Yong Bosch, Nakia Burrise, Steve Cardenas.

De jeunes justiciers aux pouvoirs fantastiques combattent une pirate de l'espace qui cherche à libérer un monstre terrifiant emprisonné dans un volcan. Film de série. Récit sans queue ni tête. Suite d'affrontements maladroitement illustrés. Traitement puéril et manichéen. Médiocrité de la réalisation et de l'interprétation.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
Les Power Rangers sont un groupe de jeunes justiciers experts en arts martiaux et investis de pouvoirs fantastiques. Leur nouvelle mission consiste à neutraliser la diabolique pirate de l'espace Divatox. Cette méchante femme a kidnappé Lerigot, un vieux sage dont les pouvoirs magiques pourraient permettre à la criminelle de libérer le monstre Maligore, une créature terrifiante emprisonnée dans un volcan.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après le succès de la série télévisée et du film MIGHTY MORPHIN POWER RANGERS sorti en 1995, il a été décidé de créer une suite aux avatars de cette bande d'adolescents aussi athlétiques qu'insupportables. Les concepteurs n'ont bien sûr pas varié d'un pouce la formule gagnante du premier épisode. Mercantilisme oblige, il en découle une série de scènes d'affrontements ridicules maladroitement illustrées, qui tente de mettre en évidence une panoplie de gadgets visiblement destinés au marché du jouet. Le résultat respire la facilité, le manichéisme, la puérilité, pire... le crétinisme. Ce n'est certes pas les piètres effets spéciaux à la chaîne utilisés ici qui rachèteront la pauvreté de l'ensemble, d'autant que la réalisation se distingue par sa médiocrité générale. Quant au récit (mais peut-on vraiment parler de récit?), il n'y a que les auteurs qui ont dû en goûter les subtilités. Au vu de leur prestation, les jeunes interprètes de ce film auraient intérêt à prendre quelques cours ou à se recycler dans un autre domaine.

Texte : Christian Depoorter

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