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Tobby le joueur étoile (Air Bud)

É.-U. 1997. Comédie de Charles Martin Smith avec Kevin Zegers, Michael Jeter, Wendy Makkena. Un garçon adopte un chien abandonné qui s'avère doué pour le basket-ball. Rappel exhaustif de tous les lieux communs du genre. Ensemble archiprévisible mais assez vivant. Photographie soignée. Interprétation passable.

Général
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Tobby le joueur étoile (Air Bud)

Général Général

É.-U. 1997. Comédie de Charles Martin Smith avec Kevin Zegers, Michael Jeter, Wendy Makkena.

Un garçon adopte un chien abandonné qui s'avère doué pour le basket-ball. Rappel exhaustif de tous les lieux communs du genre. Ensemble archiprévisible mais assez vivant. Photographie soignée. Interprétation passable.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Malofilm
Maltraité par son maître, un clown complètement paumé, un chien savant se retrouve abandonné sur le bord d'une route. Il est adopté par Josh, un gamin nouvellement arrivé dans une petite ville avec sa mère et sa petite soeur. Lorsque Josh réalise son rêve de faire partie de l'équipe de basket-ball de son école, son chien est recruté comme mascotte. Capable de lancer le ballon dans le panier avec son museau, l'animal devient une vedette, ce qui attire l'attention de son ancien maître qui tente alors de le reprendre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les scénaristes ont soigneusement, presque méthodiquement, battu en rappel tous les lieux communs, tous les clichés et toutes les formules éprouvées du genre. Le héros est un gamin attristé par la mort de son père, un pilote d'essai. Il se retrouve dans une nouvelle ville où il ne parvient pas à se faire d'amis, jusqu'au jour où il adopte un chien abandonné dont il tente d'abord de cacher la présence à sa mère. On est alors en plein territoire connu depuis le E.T. de Spielberg, qui n'était déjà qu'une variation «extra-terrestre» sur le thème vieux comme le monde du petit garçon et son chien. On retourne donc ici à la case départ. L'humour slapstick, le rythme assez vif et une mise en images soignée agrémentent cette production préfabriquée au scénario archiprévisible et manipulateur (en particulier dans les passages mélos). Les enfants y prendront sans doute un certain plaisir, mais leurs parents risquent fort de consulter souvent leur montre. L'interprétation est passable.

Texte : Martin Girard

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