The 6th Man

Name: 6th Man, The
Director: Randall Miller
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 108 min.

É.-U. 1997. Comédie fantaisiste de Randall Miller avec Marlon Wayans, Kadeem Hardison, David Paymer. Mort prématurément, un joueur vedette de basket-ball réapparaît sous la forme d'un fantôme afin d'aider ses anciens coéquipiers à gagner. Mélange éculé de fantaisie loufoque facile et de sentimentalité à la guimauve. Humour infantile. Réalisation routinière. Interprétation honnête sans plus.

The 6th Man (The 6th Man)

Général

É.-U. 1997. Comédie fantaisiste de Randall Miller avec Marlon Wayans, Kadeem Hardison, David Paymer.

Mort prématurément, un joueur vedette de basket-ball réapparaît sous la forme d'un fantôme afin d'aider ses anciens coéquipiers à gagner. Mélange éculé de fantaisie loufoque facile et de sentimentalité à la guimauve. Humour infantile. Réalisation routinière. Interprétation honnête sans plus.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1997

Durée :

108 min.

Réalisation :

Randall Miller

Photographie :

Mike Ozier

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Buena Vista

Interprètes :

Marlon Wayans
Kadeem Hardison
David Paymer
Michael Michele

Antoine Tyler, le joueur vedette de l'équipe de basket-ball les Huskies, meurt d'une crise cardiaque durant un match. Il laisse ainsi dans le deuil son frère Kenny qui joue lui aussi au sein de cette formation, dont la victoire au championnat semble maintenant compromise. Mais voilà qu'Antoine réapparaît sous la forme d'un fantôme dont seul Kenny peut déceler la présence. Le spectre ne tarde pas à se manifester durant les matchs afin d'aider ses anciens coéquipiers à gagner.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À l'instar de bien d'autres films récents, cette production vise à racoler un public friand à la fois de comédie et de sport. Le sujet n'est pas sans rappeler celui d'ANGELS IN THE OUTFIELD, surtout que le traitement offre un mélange semblable de sentimentalité à la guimauve et d'humour loufoque facile. Personnages stéréotypés, clichés à la pelle, ton d'humour infantile et lourdeur de la fantaisie sont quelques-unes des tristes caractéristiques de ce film à la formule éculée. Techniquement au point, notamment sur le plan des effets spéciaux digitaux, la réalisation n'en demeure pas moins peu inspirée et parfaitement routinière. Quant à l'interprétation, elle s'avère honnête sans plus.

Texte : Martin Girard

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