Si on s'aimait ('Til There Was You)

Name: Si on s'aimait
Director: Scott Winant
Genre: Comédie sentimentale
Duration: 113 min.

É.-U. 1997. Comédie sentimentale de Scott Winant avec Jeanne Tripplehorn, Dylan McDermott, Sarah Jessica Parker. Une femme qui rêve d'amour et un homme qui rêve de gloire empruntent des chemins dans la vie qui bientôt se croiseront. Variation inégale sur le thème du coup de foudre. Hommage au cinéma hollywoodien d'antan. Mise en scène peu inventive. Jeu sans éclat des comédiens.

Si on s'aimait ('Til There Was You)

Général

É.-U. 1997. Comédie sentimentale de Scott Winant avec Jeanne Tripplehorn, Dylan McDermott, Sarah Jessica Parker.

Une femme qui rêve d'amour et un homme qui rêve de gloire empruntent des chemins dans la vie qui bientôt se croiseront. Variation inégale sur le thème du coup de foudre. Hommage au cinéma hollywoodien d'antan. Mise en scène peu inventive. Jeu sans éclat des comédiens.

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Genre :

Comédie sentimentale

Année :

1997

Durée :

113 min.

Réalisation :

Scott Winant

Scénario :

Winnie Holzman

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Jeanne Tripplehorn
Dylan McDermott
Sarah Jessica Parker

Gwen, écrivain prête-nom, rêve de mariage depuis son enfance. Nick, architecte ambitieux, rêve de gloire. Sans se connaître, Gwen et Nick empruntent des chemins étrangement parallèles, qui se rapprochent lorsque Gwen se porte à la défense de l'immeuble historique qu'elle habite et qu'un important complexe immobilier, dessiné par Nick, menace de détruire. La rencontre est imminente.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Créé par les auteurs de la série télévisée THIRTYSOMETHING, 'TIL THERE WAS YOU est une variation inégale sur le thème de la rencontre amoureuse assaisonnée d'enjeux où se disputent d'une part le respect du passé et le voeu d'un avenir meilleur, d'autre part l'espérance amoureuse et l'ambition professionnelle. L'idée n'étant pas neuve, l'ambition du film réside plutôt du côté de son illustration. La direction artistique fait un affectueux clin d'oeil au cinéma hollywoodien d'antan à travers des décors féeriques volontairement artificiels, qui rappellent les films de Stanley Donen. Le scénario repose quant à lui sur des situations codées conduisant à l'éclosion d'amours flamboyantes, au terme d'un parcours balisé de personnages typés qui court-circuitent ou favorisent les rencontres espérées. Reste que cet exercice nostalgique, mis en scène sans invention, repose sur des ressorts dramatiques éventés, que le jeu honnête des acteurs, s'appuyant essentiellement sur une grande présence physique, ne peut faire oublier.

Texte : Martin Bilodeau

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