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Matusalem II - Le Dernier des Beauchesne

Mardi 07 Mai à 18:20 | Cinépop

Can. 1997. Aventures de Roger Cantin avec Marc Labrèche, Émile Proulx-Cloutier, Steve Gendron. Quatre jeunes adolescents et un professeur d'histoire sont projetés dans le passé sur une île tropicale infestée de flibustiers. Scénario manquant d'humour et de fantaisie. Péripéties souvent confuses. Réalisation assez habile. Jeu coloré des comédiens.

Général
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Matusalem II - Le Dernier des Beauchesne (Matusalem II - Le Dernier des Beauchesne)

Général Général

Can. 1997. Aventures de Roger Cantin avec Marc Labrèche, Émile Proulx-Cloutier, Steve Gendron.

Quatre jeunes adolescents et un professeur d'histoire sont projetés dans le passé sur une île tropicale infestée de flibustiers. Scénario manquant d'humour et de fantaisie. Péripéties souvent confuses. Réalisation assez habile. Jeu coloré des comédiens.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Motion International
Producteurs :
Olivier, Béatrice, Hélène et Laurent sont quatre jeunes adolescents qui s'aventurent un soir dans une vieille demeure présumément hantée. Ils y découvrent la présence d'un excentrique professeur d'histoire à la recherche d'un trésor. C'est alors qu'un phénomène magique, qui se produit chaque année le jour de l'anniversaire d'Olivier, ouvre un passage temporel dans lequel sont aspirés les cinq personnages. Ils aboutissent sur une île tropicale où ils sont faits prisonniers par des flibustiers.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Roger Cantin ne semble pas s'être beaucoup creusé les méninges pour concocter cette suite à son MATUSALEM. Le scénario reprend des éléments similaires à ceux du premier épisode sans atteindre le même degré de fantaisie et d'humour. Après une laborieuse mise en train se déroulant de nos jours, l'action se transporte enfin dans le passé à l'époque des flibustiers. Mais le scénario n'y trouve pas pour autant la magie et le sens de l'aventure tant souhaités. Au contraire, le récit se perd dans des péripéties souvent confuses et assez peu palpitantes qui risquent fort de mettre à rude épreuve la patience des enfants. Cantin se montre toujours aussi habile sur le plan technique, malgré des moyens visiblement modestes. Il ne réussit pas cependant à insuffler un souffle véritable à son film. Heureusement, le jeu coloré des comédiens rachète en partie ce quasi ratage.

Texte : Martin Girard

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