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Les Surdoués (Masterminds)

É.-U. 1997. Comédie policière de Roger Christian avec Patrick Stewart, Vincent Kartheiser, Brenda Fricker. Un adolescent débrouillard s'efforce à lui seul de faire échouer une prise d'otages dans une école. Mixture bâtarde de "Die Hard" et "Home Alone". Aucune surprise. Ensemble mené avec une certaine assurance. Jeu dégagé de P. Stewart.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Les Surdoués (Masterminds)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1997. Comédie policière de Roger Christian avec Patrick Stewart, Vincent Kartheiser, Brenda Fricker.

Un adolescent débrouillard s'efforce à lui seul de faire échouer une prise d'otages dans une école. Mixture bâtarde de "Die Hard" et "Home Alone". Aucune surprise. Ensemble mené avec une certaine assurance. Jeu dégagé de P. Stewart.

Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
À contrecoeur, le jeune Ozzie, seize ans, est obligé de conduire la fille de sa belle-mère à son école. Or, ce jour-là, des gangsters aux ordres de Bentley, le créateur du système de sécurité hyper sophistiqué de l'endroit, kidnappent les plus riches étudiants de l'école afin d'obtenir une rançon. Coincé à l'intérieur du bâtiment entièrement barricadé et miné, Ozzie devient néanmoins le dernier espoir des étudiants. Ses connaissances en électronique et son goût des mauvaises blagues font de lui un adversaire de taille pour Bentley.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme son résumé le laisse facilement deviner, ce film n'est ni plus ni moins qu'une mixture de Die Hard et Home Alone, deux des plus grands succès du box-office des années 80. Masterminds constitue donc une entreprise purement commerciale qui se contente de miser sur des recettes qui ont déjà fait leurs preuves aux guichets, à défaut d'avoir révolutionné le septième art. Le film qui en résulte constitue un étrange compromis entre le thriller violent à la Die Hard et la comédie burlesque à la Home Alone. Ainsi, Masterminds contient une bonne dose de scènes d'affrontements et de poursuites, mais personne n'y meurt et pas une goutte de sang n'y est versée. D'autre part, l'humour ne vient jamais complètement court-circuiter le climat de tension. Mais à force de ménager la chèvre et le choux, le réalisateur accouche d'un film bâtard. L'ensemble est mené cependant avec une certaine assurance, même si vers la fin l'action semble maladroitement précipitée. L'interprétation est dominée par le jeu dégagé de Patrick Stewart.

Texte : Martin Girard

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