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Le Pari

Fr. 1997. Comédie de Didier Bourdon, Bernard Campan avec Didier Bourdon, Bernard Campan, Isabelle Ferron. Les tribulations de deux beaux-frères qui font le pari de cesser de fumer. Scénario superficiel et schématique. Humour inégal et parfois grossier. Mise en scène sans relief. Interprétation dans le ton.

Général
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Le Pari (Le Pari)

Général Général

Fr. 1997. Comédie de Didier Bourdon, Bernard Campan avec Didier Bourdon, Bernard Campan, Isabelle Ferron.

Les tribulations de deux beaux-frères qui font le pari de cesser de fumer. Scénario superficiel et schématique. Humour inégal et parfois grossier. Mise en scène sans relief. Interprétation dans le ton.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Métropole Films Distribution
Didier et Bernard sont deux beaux-frères qui se détestent du fond du coeur. Chacune de leur rencontre est prétexte à confrontations et débats houleux dans le seul but d'établir la supériorité de l'un sur l'autre. Aussi, lorsqu'un jour Bernard prétend pouvoir cesser de fumer sans aucune difficulté, Didier affirme qu'il peut en faire tout autant. Les deux «beaufs» se lanceront alors un défi qui, alimenté par leur orgueil, finira par les précipiter dans l'enfer du sevrage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après le succès de leur premier long métrage, LES TROIS FRÈRES, les «Inconnus» Didier Bourdon et Bernard Campan ont décidé de renouveler l'expérience cinématographique. Avec LE PARI, les deux comparses jettent cette fois leur regard irrévérencieux et cynique sur la croisade de l'heure en Occident: la lutte au tabagisme. Malheureusement, l'humour apparaît ici forcé, parfois grossier et les quelques crocs-en-jambe à la société française sont plutôt insignifiants. Le Pari n'offre donc au spectateur rien de plus qu'un petit divertissement sans conséquences qui sera sans doute très vite oublié. Pourtant, les premières minutes sont prometteuses et les affrontements entre les deux beaux-frères donnent lieu à des réparties qui fusent bon train et à des situations parfois rigolotes. Mais une fois l'idée de départ mise en place, le récit n'a plus rien à offrir et le film tombe rapidement à plat, d'autant plus que la réalisation se contente de bien peu. L'interprétation est, quant à elle, dans le ton de l'oeuvre, c'est-à-dire honnête mais sans finesse.

Texte : Carlo Mandolini

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