Drive, She Said

Name: Drive, She Said
Director: Mina Shum
Genre: Comédie dramatique
Duration: 81 min.

Can. 1997. Comédie dramatique de Mina Shum avec Moira Kelly, Sebastian Spence, Josh Hamilton. Une caissière de banque est attirée par un client qui, un jour, la prend en otage après un vol. Road-movie familier. Développements manquant de mordant. Réalisation adéquate mais peu inspirée. Interprétation sans grand éclat.

Drive, She Said (Drive, She Said)

Général

Can. 1997. Comédie dramatique de Mina Shum avec Moira Kelly, Sebastian Spence, Josh Hamilton.

Une caissière de banque est attirée par un client qui, un jour, la prend en otage après un vol. Road-movie familier. Développements manquant de mordant. Réalisation adéquate mais peu inspirée. Interprétation sans grand éclat.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1997

Durée :

81 min.

Réalisation :

Mina Shum

Scénario :

Mina Shum

Pays :

Canada

Distributeur :

Behaviour

Interprètes :

Moira Kelly
Sebastian Spence
Josh Hamilton

Nadine Ship travaille comme caissière dans une banque et partage sa vie depuis quelques années avec son collègue Jonathan. Malheureusement, le couple traverse une crise. Nadine se sent attirée par Tass, un nouveau client. Or, voilà que ce jeune homme fait un jour irruption dans la banque pour y commettre un vol. Dans la foulée, il prend Nadine en otage, mais celle-ci commence à en tomber amoureuse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après DOUBLE HAPPINESS, premier film à saveur autobiographique fort remarqué et apprécié, Mina Shum entreprend le difficile mandat de réussir son second long métrage. Dans un style s'apparentant quelque peu au cinéma de Hal Hartley, elle se lance sur l'autoroute du septième art dans un genre de plus en plus galvaudé: le road-movie. Or, on ne trouve vraiment rien de neuf ni de bien original dans cet énième «boy meets girl» en cavale sur fond de vol de banque. Pourtant, le film s'ouvre sur de belles promesses: un ton léger mais vif, une voix-off laissant percer un certain accent romanesque, un rythme plutôt enlevé, des personnages sympathiques... Malheureusement, le scénario a tôt fait de basculer dans les poncifs et tombe littéralement en panne sèche à mi-chemin du parcours. De plus, la réalisation, pour adéquate qu'elle soit, manque nettement d'inspiration. Enfin, les compositions de Moira Kelly et de Josh Hamilton séduisent au début, plus l'intrigue se précise, plus l'interprétation générale finit par perdre de son éclat.

Texte : Jean Beaulieu

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