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Anaconda

É.-U. 1997. Drame d'horreur de Luis Llosa avec Jennifer Lopez, Jon Voight, Ice Cube. Dans la jungle amazonienne, une équipe de cinéastes tombe sous la coupe d'un aventurier qui tente de capturer un anaconda géant. Suspense animalier à l'intrigue éculée. Quelques scènes d'attaques efficaces. Trucages inégaux. Interprétation convenable de personnages unidimensionnels.

13 ans + (violence)
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Anaconda (Anaconda)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1997. Drame d'horreur de Luis Llosa avec Jennifer Lopez, Jon Voight, Ice Cube.

Dans la jungle amazonienne, une équipe de cinéastes tombe sous la coupe d'un aventurier qui tente de capturer un anaconda géant. Suspense animalier à l'intrigue éculée. Quelques scènes d'attaques efficaces. Trucages inégaux. Interprétation convenable de personnages unidimensionnels.

Genre :
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À bord d'un petit bateau, la cinéaste Terri Flores et son équipe s'enfoncent dans la jungle amazonienne afin d'aller filmer un documentaire sur une tribu amérindienne. Les voyageurs tombent sur l'aventurier Paul Sarone dont le bateau est en panne. Celui-ci se joint à eux en offrant ses services de guide. Mais en réalité, Sarone a l'intention de chasser un anaconda géant vivant dans cette région. L'expédition se transforme en cauchemar lorsque ce reptile monstrueux manifeste sa présence.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le thème de ce nouveau suspense animalier n'a rien de neuf. Les auteurs empruntent d'ailleurs sans hésiter des idées déjà utilisées dans d'autres films, de CREATURE FROM THE BLACK LAGOON à JAWS. Évidemment, le serpent mis en vedette par cette histoire ne manque pas d'être terrifiant, surtout dans certaines séquences d'attaques bien réalisées. Néanmoins, les effets de tension et de surprise n'échappent que rarement aux conventions les plus éculées du genre. L'auteur a cru bon d'épicer un peu la recette en confiant à Jon Voight le rôle d'un chasseur de serpent excentrique qui s'avère presque aussi dangereux et menaçant que le reptile lui-même. Mais ce personnage, comme les autres d'ailleurs, reste unidimensionnel. On en revient donc inévitablement au serpent lui-même, véritable raison d'être du film. Les trucages qui lui donnent vie sont malheureusement inégaux. Certains effets digitaux ou mécaniques s'avèrent en effet trop évidents pour convaincre, alors que d'autres demeurent tout de même impressionnants.

Texte : Martin Girard

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