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Adorable Vision (Picture Perfect)

É.-U. 1997. Comédie sentimentale de Glenn Gordon Caron avec Jennifer Aniston, Jay Mohr, Kevin Bacon. Afin d'obtenir une promotion, une jeune publicitaire fait croire à son patron qu'elle est fiancée à un presque inconnu rencontré à un mariage. Récit moralisateur sur l'ambition et l'amour véritable. Canevas vaudevillesque sans réelle surprise. Réalisation adéquate. Interprétation honnête.

Général
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Adorable Vision (Picture Perfect)

Général Général

É.-U. 1997. Comédie sentimentale de Glenn Gordon Caron avec Jennifer Aniston, Jay Mohr, Kevin Bacon.

Afin d'obtenir une promotion, une jeune publicitaire fait croire à son patron qu'elle est fiancée à un presque inconnu rencontré à un mariage. Récit moralisateur sur l'ambition et l'amour véritable. Canevas vaudevillesque sans réelle surprise. Réalisation adéquate. Interprétation honnête.

Année :
Durée :
Réalisation :
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Distributeur :
20th Century Fox
Employée zélée d'une agence de publicité, Kate se voit pourtant refuser une promotion par son patron M. Mercer, qui la juge trop indépendante car sans attaches sentimentales. Darcy, sa collègue et amie, a alors l'idée de faire croire à M. Mercer que Kate est fiancée à Nick, un quasi inconnu rencontré à un mariage. Kate joue le jeu, ce qui se traduit par une promotion et une aventure avec Sam, un séduisant collègue attiré uniquement par les femmes non disponibles. Mais les choses se compliquent lorsque M. Mercer manifeste le désir de rencontrer Nick.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Voilà une comédie sentimentale hollywoodienne de plus, ni pire ni meilleure que les autres, dont le petit message moral d'usage pourrait se traduire de la façon suivante: l'ambition forcenée et l'égoïsme seront toujours incompatibles avec la recherche de l'amour véritable. Impeccablement réalisé, le film recèle tout de même un certain nombre de passages amusants et de répliques bien troussées. Par contre, l'intrigue vaudevillesque ne réserve que bien peu de surprises et les situations potentiellement comiques manquent trop souvent de piquant. De plus, on se doit de noter un manque de rigueur en ce qui a trait à la caractérisation de certains personnages. Néanmoins, Jennifer Aniston parvient à rendre le sien attachant et ce, malgré son égoïsme foncier. Jay Mohr livre quant à lui une performance honnête, mais qui manque quelque peu de charisme.

Texte : Louis-Paul Rioux

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