Un Temps pour l'amour (In Love and War)

Name: Un Temps pour l'amour
Director: Richard Attenborough
Genre: Drame biographique

É.-U. 1996. Drame biographique de Richard Attenborough avec Sandra Bullock, Chris O'Donnell, Mackenzie Astin. En Italie, durant la Première Guerre mondiale, un jeune Américain blessé lors d'un bombardement tombe amoureux d'une infirmière de dix ans son aînée. Récit superficiel basé sur un épisode de la jeunesse d'Ernest Hemingway. Réalisation appliquée. Interprétation valable de S. Bullock.

Un Temps pour l'amour (In Love and War)

13 ans +

É.-U. 1996. Drame biographique de Richard Attenborough avec Sandra Bullock, Chris O'Donnell, Mackenzie Astin.

En Italie, durant la Première Guerre mondiale, un jeune Américain blessé lors d'un bombardement tombe amoureux d'une infirmière de dix ans son aînée. Récit superficiel basé sur un épisode de la jeunesse d'Ernest Hemingway. Réalisation appliquée. Interprétation valable de S. Bullock.

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Genre :

Drame biographique

Année :

1996

Réalisation :

Richard Attenborough

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Sandra Bullock
Chris O'Donnell
Mackenzie Astin

Ambulancier pour la Croix Rouge en Italie durant la Première Guerre mondiale, le jeune et téméraire Américain Ernest Hemingway est blessé durant un bombardement. A l'hôpital, il ne tarde pas à tomber amoureux de l'infirmière Agnes von Kurowsky, une compatriote presque dix ans plus âgée que lui. Mais bien que celle-ci manifeste de la tendresse pour le jeune patient, elle hésite à s'engager dans une relation avec lui.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur de Gandhi et Chaplin a déjà fait mieux que cette biographie romancée qui raconte les premiers déboires amoureux d'Ernest Hemingway, bien avant qu'il devienne un des plus célèbres écrivains américains. Certains détails du récit évoquent des traits particuliers de la personnalité du célèbre romancier: son impétuosité, son goût de l'aventure et de l'exotisme, etc. Mais le portrait demeure dans l'ensemble superficiel et régi par des clichés hollywoodiens dignes d'un roman de gare. Ainsi, même la guerre et ses horreurs passent à la moulinette d'un certain romantisme artificiel et aseptisé. Réalisé avec une application routinière, le résultat fait penser à un épisode de mini-série télévisée. Sandra Bullock tire avantageusement son épingle du jeu face à un Chris O'Donnell peu nuancé.

Texte : Martin Girard

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