Go to main content
6

Turbulence

É.-U. 1996. Drame policier de Robert Butler avec Ray Liotta, Lauren Holly, Brenda Gleeson. Demeurée seule aux commandes d'un 747 à bord duquel se déroule une prise d'otages, une hôtesse tente de poser l'appareil à Los Angeles. Scénario insipide et bourré de clichés. Traitement filmique grossier. Violence gratuite. Interprétation mécanique.

16 ans + (violence)
6

Turbulence (Turbulence)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

É.-U. 1996. Drame policier de Robert Butler avec Ray Liotta, Lauren Holly, Brenda Gleeson.

Demeurée seule aux commandes d'un 747 à bord duquel se déroule une prise d'otages, une hôtesse tente de poser l'appareil à Los Angeles. Scénario insipide et bourré de clichés. Traitement filmique grossier. Violence gratuite. Interprétation mécanique.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Robert Montplaisir
En cette veille de Noël, le vol de la TCA vers Los Angeles n'a que quelques passagers à son bord. Mais parmi ceux-ci il y a Stubbs et Ryan, deux dangereux criminels. Profitant d'un moment d'inattention des policiers qui l'escortent, Stubbs parvient à prendre un otage. Lors de la riposte, Stubbs, les pilotes et les policiers sont tués. Entre-temps, l'avion pénètre dans une zone d'orages violents. L'hôtesse Teri entreprend alors de poser l'appareil. Mais elle devra d'abord contrer les assauts répétés de Ryan...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il y a bien peu de choses positives à dire sur ce film où la gratuité de la violence n'a d'égal que son aspect révoltant. Dans ce ramassis de clichés et cette suite de répliques d'une incroyable banalité, les auteurs exécutent sans aucune conviction les figures imposées du thème de la confrontation - psychologique et physique - entre un tueur psychopathe et sa victime. Robert Butler et son scénariste n'ont rien su tirer de ce récit qui contenait pourtant quelques prémisses prometteuses: un 747 sans pilote qui menace de s'écraser en plein centre-ville de Los Angeles, des réflexions sur les méthodes d'enquêtes policières et sur la peine capitale, etc. Mais l'insipidité du traitement et l'absence d'inventivité dans la mise en scène ne font qu'accentuer l'insignifiance du récit et la platitude de l'interprétation. Seul Ray Liotta parvient à insuffler un soupçon de profondeur à son personnage.

Texte : Carlo Mandolini

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3