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The Disappearance of Finbar

G.-B. 1996. Comédie dramatique de Sue Clayton avec Jonathan Rhys Meyers, Luke Griffin, Fanny Risberg. Après avoir reçu un appel d'un ami disparu il y a plus de trois ans, un jeune Irlandais se lance à sa recherche jusqu'en Finlande. Intrigue capricieuse et répétitive. Situations comiques absurdes. Réalisation conventionnelle. Belle photographie. Interprétation figée.

Général
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The Disappearance of Finbar (The Disappearance of Finbar)

Général Général

G.-B. 1996. Comédie dramatique de Sue Clayton avec Jonathan Rhys Meyers, Luke Griffin, Fanny Risberg.

Après avoir reçu un appel d'un ami disparu il y a plus de trois ans, un jeune Irlandais se lance à sa recherche jusqu'en Finlande. Intrigue capricieuse et répétitive. Situations comiques absurdes. Réalisation conventionnelle. Belle photographie. Interprétation figée.

Année :
Durée :
Réalisation :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Déçu de ce que son entourage pense de lui, Finbar, un adolescent irlandais, saute du haut d'un pont et disparaît, sans qu'on retrouve son corps. Trois ans après, une chanson relatant cette disparition devient populaire et pousse Finbar à téléphoner de Scandinavie à son vieux copain Danny. Ce dernier se lance alors à sa recherche jusqu'aux confins de la Finlande. Là-bas, lorsqu'enfin les deux amis se retrouvent, il devient clair qu'ils ne peuvent reprendre là où ils avaient laissé.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Construit sur le modèle d'un road-movie initiatique, ce récit explore le désarroi de jeunes Irlandais vivant isolés dans un petit village. Comme on erre en terrain assez connu, le scénario offre donc peu de surprises. Lente à démarrer, la quête du protagoniste pour retrouver son copain jusqu'au fin fond de la Finlande n'est pas sans imposer un aspect capricieux à l'évolution narrative. Ainsi les situations, absurdes à souhait, débouchent souvent sur un humour à la fois ironique et désarmant. Il s'en dégage toutefois une tendance à la répétition. Quant à la réalisation fort conventionnelle, elle ne parvient pas à extraire tout le potentiel d'un matériel pourtant prometteur. On retiendra tout de même la très belle photographie, ponctuellement au service de passages oniriques séduisants, parmi les plus réussis du film. Pour leur part, les personnages demeurent des esquisses et sont interprétés de façon passablement figée.

Texte : Alain Dubeau

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