Go to main content
Default image
5

Taxi pour Los Angeles (Taxi to L.A.)

Can. 1996. Comédie dramatique de Bashar Shbib avec Alexandra Woodward, Mark Houghton, Jay Ferguson (II). Une snob sympathise progressivement avec le chauffeur de taxi cynique qui la conduit de Montréal à Los Angeles. Deuxième volet de la série "The Senses". Road-movie conventionnel s'inspirant du sens de la vue. Manque d'enjeux dramatiques. Interprétation indifférente.

13 ans +
5

Taxi pour Los Angeles (Taxi to L.A.)

13 ans + 13 ans +

Can. 1996. Comédie dramatique de Bashar Shbib avec Alexandra Woodward, Mark Houghton, Jay Ferguson (II).

Une snob sympathise progressivement avec le chauffeur de taxi cynique qui la conduit de Montréal à Los Angeles. Deuxième volet de la série "The Senses". Road-movie conventionnel s'inspirant du sens de la vue. Manque d'enjeux dramatiques. Interprétation indifférente.

Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Pays :
Distributeur :
Film Tonic
Producteurs :
Après que son fiancé ait annoncé son refus de se marier, Samantha décide de quitter Montréal pour s'en aller à Los Angeles. Elle entreprend de faire le trajet en taxi, mais la relation entre cette cliente très snob et le cynique chauffeur Jack, un tantinet voyeur, ne s'annonce pas de tout repos. Pourtant au fil du trajet, ces deux êtres si différents finissent par sympathiser.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Deuxième volet de la série The Senses constituée de cinq longs métrages s'inspirant des cinq sens, ce road-movie met en scène le sempiternel duo de personnages antagonistes que tout sépare mais qui vont finir par se rejoindre après les engueulades d'usage. Quant au sens de la vue qui sert de prétexte à ce chapitre, il n'est motivé seulement que par le paysage qui défile de façon intermittente entre les réflexions et les prises de bec des protagonistes. Bien que s'adressant au grand public selon le réalisateur, cet épisode risque d'accrocher peu de monde tant sa facture s'avère des plus conventionnelles. Tourné avec de petits moyens, ce film sent à l'évidence l'improvisation. D'ailleurs, le réalisateur ne s'en défend pas qui affirme que le scénario de départ était réduit à l'état de squelette et que les développements se sont ajoutés au fur et à mesure du tournage. Peu passionnant par sa forme répétitive, le film ne l'est pas beaucoup plus par son fond. Cela sent le déjà vu et la trame ne recèle que peu d'enjeux émotifs ou psychologiques. Le ton banal adopté par les comédiens laisse plutôt indifférent.

Texte : Christian Depoorter

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3