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Parents secours (House Arrest)

É.-U. 1996. Comédie de Harry Winer avec Kyle Howard, Jamie Lee Curtis, Kevin Pollak. Pour empêcher leurs parents de se séparer, deux jeunes décident de les enfermer dans la cave de leur maison jusqu'à ce qu'ils se soient réconciliés. Enfilade de situations comiques simplistes. Scénario bourré de clichés. Mise en scène quelconque. Interprètes de talent sous-utilisés.

Général
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Parents secours (House Arrest)

Général Général

É.-U. 1996. Comédie de Harry Winer avec Kyle Howard, Jamie Lee Curtis, Kevin Pollak.

Pour empêcher leurs parents de se séparer, deux jeunes décident de les enfermer dans la cave de leur maison jusqu'à ce qu'ils se soient réconciliés. Enfilade de situations comiques simplistes. Scénario bourré de clichés. Mise en scène quelconque. Interprètes de talent sous-utilisés.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Robert Montplaisir
Lorsqu'ils apprennent que leurs parents ont l'intention de se séparer, Grover et Stacy s'arrangent pour les enfermer dans le sous-sol de leur maison jusqu'à ce qu'ils se soient réconciliés. Ayant eu vent de l'affaire, des camarades de classe de Grover kidnappent leurs propres parents divorcés et les enferment au même endroit. Mais la stratégie fonctionne avec plus ou moins de bonheur, car la zizanie se répand chez les adultes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Partagée entre la description d'un monde d'adultes caricatural et celle d'un univers d'adolescents stéréotypé, cette comédie vise deux cibles à la fois et les rate toutes les deux. Le ton burlesque de l'ensemble permet d'accepter à la rigueur l'invraisemblance criante du récit, mais on chercherait en vain le moindre élément rédempteur pour compenser la faiblesse de l'humour et le simplisme des développements narratifs. L'essentiel du scénario repose sur les mauvais coups d'une bande de jeunes qui se retrouvent du jour au lendemain sans surveillance parentale. Parallèlement, le film décrit les relations tendues entre les parents dans des scènes bourrées de clichés. Évidemment, l'histoire se termine sur une fin heureuse assez forcée qui baigne dans la mièvrerie. La mise en scène est du niveau d'une comédie de situations télévisée. Des interprètes de talent gaspillent leur énergie dans la peau de personnages qui n'en valent pas la peine.

Texte : Martin Girard

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