Multiplicité (Multiplicity)

Name: Multiplicité
Director: Harold Ramis
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 117 min.

É.-U. 1996. Comédie fantaisiste de Harold Ramis avec Michael Keaton, Andie MacDowell, Harris Yulin. Un homme affairé a recours au clonage pour répondre à ses nombreuses obligations familiales et professionnelles. Scénario classique sur le thème de la rédemption. Approche efficace mais superficielle. Interprétation enjouée de M. Keaton.

Multiplicité (Multiplicity)

Général

É.-U. 1996. Comédie fantaisiste de Harold Ramis avec Michael Keaton, Andie MacDowell, Harris Yulin.

Un homme affairé a recours au clonage pour répondre à ses nombreuses obligations familiales et professionnelles. Scénario classique sur le thème de la rédemption. Approche efficace mais superficielle. Interprétation enjouée de M. Keaton.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1996

Durée :

117 min.

Réalisation :

Harold Ramis

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Michael Keaton
Andie MacDowell
Harris Yulin

Accaparé par ses obligations professionnelles et familiales, un homme se soumet à une expérience de clonage. Un double naît, qui lui permet de se consacrer à sa famille sans nuire à son travail. L'arrivée inopinée d'un second clone, puis d'un troisième, lui cause pourtant des ennuis considérables et pousse son épouse à quitter ce mari au tempérament changeant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur Harold Ramis reprend ici le thème de la rédemption, tel qu'il l'avait astucieusement exploité dans GROUNDHOG DAY. Ramis explore les différentes facettes d'un même personnage en le divisant en clones, ceux-ci permettant au héros de faire un examen de conscience et de mieux saisir l'importance d'être entier. Si l'approche s'avère assez superficielle, l'efficacité de cette comédie n'en est pas le moindrement affectée. Car le cinéaste sait autant faire rire que réfléchir, sans trop s'appesantir sur une morale bien-pensante. Sa mise en scène est attentive aux états d'âme du héros, tout en exploitant avec succès un humour "slapstick". Les personnages secondaires restent dans l'ombre des quatre versions du héros, qui donnent à Michael Keaton l'occasion de démontrer l'étendue de son immense talent.

Texte : Martin Bilodeau

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