Mme Winterbourne (Mrs. Winterbourne)

Name: Mme Winterbourne
Director: Richard Benjamin
Genre: Comédie

É.-U. 1996. Comédie de Richard Benjamin avec Ricki Lake, Brendan Fraser, Shirley MacLaine. Une jeune mère démunie prend l'identité d'une femme qui a été tuée avec son mari dans un accident, avant d'avoir rencontré sa richissime belle-famille. Sujet connu traité avec un humour facile. Réalisation impersonnelle. Interprètes jouant avec entrain.

Mme Winterbourne (Mrs. Winterbourne)

Général

É.-U. 1996. Comédie de Richard Benjamin avec Ricki Lake, Brendan Fraser, Shirley MacLaine.

Une jeune mère démunie prend l'identité d'une femme qui a été tuée avec son mari dans un accident, avant d'avoir rencontré sa richissime belle-famille. Sujet connu traité avec un humour facile. Réalisation impersonnelle. Interprètes jouant avec entrain.

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Genre :

Comédie

Année :

1996

Réalisation :

Richard Benjamin

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Ricki Lake
Brendan Fraser
Shirley MacLaine

Pauvre et enceinte, Connie fait la connaissance d'un jeune couple à bord d'un train. Enceinte elle aussi, Patricia s'en va rencontrer pour la première fois sa richissime belle-famille, les Winterbourne. Mais voilà que son mari et elle perdent la vie dans le déraillement du train. Connie survit à l'accident, donne naissance à son bébé et profite alors d'un malentendu pour se faire passer pour Patricia auprès des Winterbourne.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce nouveau conte de fées "made in Hollywood" est une adaptation humoristique d'un roman qui a déjà inspiré deux mélodrames (No Man of Her Own, tourné aux Etats-Unis en 1950, et J'ai épousé une ombre, un film français de 1982). Le traitement comique privilégié dans cette nouvelle version permet à l'auteur de faire avaler plus facilement au spectateur les nombreuses invraisemblances du récit. Mais il s'agit là du seul mérite véritable de cette approche fantaisiste d'un sujet par ailleurs connu (pensons au récent While You Were Sleeping). L'humour se limite à une confrontation facile entre les moeurs aristocratiques des Winterbourne et celles plutôt rustres de l'héroïne. Tout y passe: décorum durant les repas, langage, tenues vestimentaires, etc. Morale de l'histoire: tout le monde aux Etats-Unis peut trouver sa place parmi les riches. La réalisation de Richard Benjamin est tout à fait impersonnelle, mais les interprètes jouent avec l'entrain voulu.

Texte : Martin Girard

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