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Le Parfumeur (The Perfumer)

Can. 1996. Comédie de Bashar Shbib avec Jimeoin, Diane Carlson, Iona Brindle. Un timide propriétaire de parfumerie concocte une fragrance qui se révèle un puissant aphrodisiaque. Troisième volet de la série "The Senses". Fantaisie inepte s'inspirant du sens de l'odorat. Humour tombant à plat. Réalisation maladroite. Interprètes sans talent.

Général
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Le Parfumeur (The Perfumer)

Général Général

Can. 1996. Comédie de Bashar Shbib avec Jimeoin, Diane Carlson, Iona Brindle.

Un timide propriétaire de parfumerie concocte une fragrance qui se révèle un puissant aphrodisiaque. Troisième volet de la série "The Senses". Fantaisie inepte s'inspirant du sens de l'odorat. Humour tombant à plat. Réalisation maladroite. Interprètes sans talent.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
Producteurs :
Le très timide et maladroit Edward Pinchbeck, propriétaire d'une modeste parfumerie, est secrètement amoureux de son assistante Daisy. Un jour, il découvre une orchidée au parfum incroyable. Malgré l'opposition d'une vieille connaissance, présidente de la société d'horticulture, il réussit à voler une bouture et s'en sert pour concocter un parfum qui se révèle un puissant aphrodisiaque. Edward devient alors irrésistible auprès des hommes comme des femmes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce troisième volet de la série THE SENSES, constituée de cinq longs métrages s'inspirant des cinq sens, se révèle le seul à utiliser réellement un des sens, dans ce cas-ci l'odorat, comme élément moteur du récit. Nonobstant cette caractéristique, on peut vraiment se demander quelles étaient les motivations qui ont guidé le réalisateur. Le thème de base aurait certes pu donner lieu à une joyeuse comédie triviale et/ou satirique, mais l'incompétence des scénaristes à raconter une simple histoire est ici à ce point effarante qu'on a l'impression d'avoir affaire à de parfaits amateurs, ou au mieux à un premier essai d'étudiant en cinéma. L'absence évident de moyens ne justifie pas l'ineptie généralisée de cet épisode. Filmées en vrac, des scènes prétendument humoristiques déballent leur platitude en confondant allègrement légèreté et subtilité avec infantilisme et lourdeur. En plus de ces maladresses, il faut également supporter une équipe d'interprétation qui ne démontre pas un talent à toute épreuve.

Texte : Christian Depoorter

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