Le Ninja de Beverly Hills (Beverly Hills Ninja)

Name: Ninja de Beverly Hills, Le
Director: Dennis Dugan
Genre: Comédie
Duration: 89 min.

É.-U. 1996. Comédie de Dennis Dugan avec Chris Farley, Robin Shou, Nicollette Sheridan. Un soi-disant ninja d'une maladresse insigne tente d'aider une belle et mystérieuse Américaine aux prises avec des criminels. Enfilade de gags simplistes. Réalisation d'une banalité absolue. Jeu lourdement caricatural de C. Farley.

Le Ninja de Beverly Hills (Beverly Hills Ninja)

Général

É.-U. 1996. Comédie de Dennis Dugan avec Chris Farley, Robin Shou, Nicollette Sheridan.

Un soi-disant ninja d'une maladresse insigne tente d'aider une belle et mystérieuse Américaine aux prises avec des criminels. Enfilade de gags simplistes. Réalisation d'une banalité absolue. Jeu lourdement caricatural de C. Farley.

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Genre :

Comédie

Année :

1996

Durée :

89 min.

Réalisation :

Dennis Dugan

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Chris Farley
Robin Shou
Nicollette Sheridan

Recueilli lorsqu'il était bébé par une famille de ninjas au Japon, Haru a grandi en apprenant les arts martiaux. Mais son embonpoint, sa naïveté et sa maladresse insigne réduisent à néant son habileté au combat. Il se croit pourtant très bon, si bien que lorsque l'opportunité se présente de remplir une mission pour le compte d'une belle et mystérieuse Américaine, Haru passe à l'action. Heureusement, son frère adoptif Gobei, un vrai ninja, le suit en cachette au cas où il aurait besoin d'aide.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ayant semble-t-il rejoint un certain public d'adolescents avec des comédies faciles comme TOMMY BOY et BLACK SHEEP, Chris Farley récidive dans un autre rôle de naïf maladroit, constamment empêtré dans des situations gênantes. Une fois encore, l'humour vole très bas, reposant sur une forme de "slapstick" simpliste et dépourvu de la moindre originalité. L'intrigue n'est qu'un mince prétexte pour aligner les gags, très nombreux certes, mais rarement drôles. Le film touche rapidement le fond lorsque, dans une scène particulièrement grotesque, le héros se joint à une strip-teaseuse pour exécuter une danse lascive. La réalisation est d'une banalité absolue, tandis que l'interprétation de Chris Farley se cantonne dans une lourde caricature.

Texte : Martin Girard

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