Le Corbeau - Cité des anges (The Crow - City of Angels)

Name: Corbeau - Cité des anges, Le
Director: Tim Pope
Genre: Drame fantastique

É.-U. 1996. Drame fantastique de Tim Pope avec Vincent Pérez, Mia Kirshner, Iggy Pop. Tué par des malfaiteurs, un jeune homme est ramené à la vie par un mystérieux corbeau et entreprend de se venger. Film de série au scénario proche de l'original. Univers de bandes dessinées pour adultes. Mise en scène stylisée. Interprétation physique de V. Pérez.

Le Corbeau - Cité des anges (The Crow - City of Angels)

16 ans + (violence)

É.-U. 1996. Drame fantastique de Tim Pope avec Vincent Pérez, Mia Kirshner, Iggy Pop.

Tué par des malfaiteurs, un jeune homme est ramené à la vie par un mystérieux corbeau et entreprend de se venger. Film de série au scénario proche de l'original. Univers de bandes dessinées pour adultes. Mise en scène stylisée. Interprétation physique de V. Pérez.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1996

Réalisation :

Tim Pope

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Vincent Pérez
Mia Kirshner
Iggy Pop

Victime d'une bande de malfaiteurs, Ashe a été sauvagement assassiné après avoir assisté au meurtre de son fils. Le jeune homme est cependant ramené du monde des ténèbres par un mystérieux corbeau. Il entreprend alors d'éliminer un à un ses bourreaux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Donnant suite à un film-culte, City of Angels est pratiquement un remake de l'original. L'histoire suit grosso modo les mêmes lignes directrices, opposant un mort-vivant «new wave» à une bande de gangsters punks dans un univers de décrépitude urbaine glauque et ténébreuse. Encore une fois, l'ombre de Blade Runner et des Batman vient draper cette illustration cinématographique d'un monde de bandes dessinées «pour adultes». Confié aux bons soins d'un spécialiste du vidéo-clip, le film poursuit dans la même veine stylisée que son prédécesseur, sans parvenir toutefois à renouveler une formule qui commence à sérieusement sentir le procédé. Malgré quelques passages impressionnants, du moins sur le plan strictement visuel, l'ensemble n'offre pas suffisamment d'originalité pour justifier artistiquement son existence. Vincent Pérez s'en tire honorablement dans un rôle plus exigeant physiquement que dramatiquement.

Texte : Martin Girard

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