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La Reine des vampires (Tales From the Crypt - Bordello of Blood)

É.-U. 1996. Comédie fantaisiste de Gilbert Adler avec Dennis Miller, Angie Everhart, Erika Eleniak. Un détective privé enquête sur la disparition d'un adolescent qui s'était rendu à un bordel tenu par une vampire. Récit oscillant constamment entre la comédie et l'horreur. Développements sans surprises. Réalisation routinière. Effets racoleurs. Jeu décontracté et ironique de D. Miller.

13 ans + (horreur, érotisme)
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La Reine des vampires (Tales From the Crypt - Bordello of Blood)

13 ans + (horreur, érotisme) 13 ans + (horreur, érotisme)

É.-U. 1996. Comédie fantaisiste de Gilbert Adler avec Dennis Miller, Angie Everhart, Erika Eleniak.

Un détective privé enquête sur la disparition d'un adolescent qui s'était rendu à un bordel tenu par une vampire. Récit oscillant constamment entre la comédie et l'horreur. Développements sans surprises. Réalisation routinière. Effets racoleurs. Jeu décontracté et ironique de D. Miller.

Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Universal
Pour retrouver son jeune frère mystérieusement disparu, Katherine Verdoux fait appel au détective privé Rafe Guttman. Celui-ci ne tarde pas à découvrir que l'adolescent s'était rendu à un bordel camouflé en salon funéraire, tenu par la séduisante vampire Lilith. Rafe comprend également que cette diabolique créature s'est associée au révérend Current, un télévangéliste pour lequel travaille Katherine, qui dispose à sa guise des biens des clients cadavérisés.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après LE DÉMON DE LA NUIT, voici le deuxième épisode pour le cinéma de la série TALES FROM THE CRYPT diffusée à la télévision américaine. Et encore une fois, il s'agit d'une production sans réelle envergure qui ne brille guère par son originalité. En effet, les auteurs ont emprunté certains éléments narratifs au récent FROM DUSK TILL DAWN de Robert Rodriguez, à la différence que les danseuses vampires deviennent ici des prostituées aux dents longues, dont les appâts sont d'ailleurs bien mis en évidence par une caméra insistante. Pour le reste, le récit sans surprises oscille constamment entre la comédie et l'horreur «gore», sans qu'aucune de ces deux tendances n'emporte vraiment l'adhésion. Dénuée d'imagination, la réalisation s'avère toutefois assez vivante et les effets spéciaux font montre d'un certain savoir-faire. Dennis Miller domine la distribution grâce à son jeu décontracté et ironique. Pour sa part, le mannequin Angie Everhart ne possède pas toujours l'aisance voulue.

Texte : Louis-Paul Rioux

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