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La Bête (The Ugly)

N.-Z. 1996. Drame d'horreur de Scott Reynolds avec Paolo Rotondo, Rebecca Hobbs, Jennifer Ward-Lealand. Une psychiatre interroge un tueur en série interné dans une clinique afin de découvrir les véritables motifs derrière ses nombreux crimes. Développements invraisemblables récupérés par une stylisation des effets horrifiques. Climat de malaise bien installé. Interprètes convaincants.

16 ans + (violence, horreur)
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La Bête (The Ugly)

16 ans + (violence, horreur) 16 ans + (violence, horreur)

N.-Z. 1996. Drame d'horreur de Scott Reynolds avec Paolo Rotondo, Rebecca Hobbs, Jennifer Ward-Lealand.

Une psychiatre interroge un tueur en série interné dans une clinique afin de découvrir les véritables motifs derrière ses nombreux crimes. Développements invraisemblables récupérés par une stylisation des effets horrifiques. Climat de malaise bien installé. Interprètes convaincants.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Distributeur :
Behaviour
Simon Cartwright est un tueur en série interné dans une clinique psychiatrique tenue par un personnel pour le moins étrange. Arrive alors une jeune et brillante psychiatre, le docteur Karen Schumaker, qui vient interroger le meurtrier afin de découvrir les motifs profonds qui se cachent derrière ces crimes abjects. Simon lui confie avoir développé dans son enfance un complexe de laideur entretenu par les mauvais traitements que lui a fait subir sa mère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

A l'instar de son compatriote Peter Jackson, Scott Reynolds amorce sa carrière de réalisateur par le biais du film d'horreur avec un long métrage qui pourrait se situer à la croisée de SILENCE OF THE LAMBS et de HENRY: PORTRAIT OF A SERIAL KILLER. La première qualité de ce film à petit budget réside dans l'installation, dès la séquence initiale, d'un climat de malaise bien prégnant, avec l'utilisation de couleurs crues (à dominantes bleue, rouge et noire) et l'apparition de personnages inquiétants. Plus original dans son traitement que dans son scénario, ce film contient certains développements s'avérant soit prévisibles ou invraisemblables. Cependant, ces faiblesses sont souvent récupérées par une stylisation des effets horrifiques. Des décors soignés, une caméra nerveuse et un montage très «clippé» permet de considérer les scènes d'extrême violence sous un angle un peu moins réaliste. Dans le rôle principal, Paolo Rotondo excelle à la fois dans son personnage de bourreau et celui de victime. Les autres interprètes jouent avec suffisamment de conviction.

Texte : Jean Beaulieu

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