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L'Ombre blanche (The Glimmer Man)

É.-U. 1996. Drame policier de John Gray avec Steven Seagal, Keenen Ivory Wayans, Bob Gunton. En enquêtant sur des meurtres en série, deux détectives mettent au jour les activités d'une bande de gangsters. Ramassis de clichés propres au cinéma d'action de série B. Intrigue laborieuse. Touches d'humour tombant à plat. Technique correcte. Jeu insipide de S. Seagal.

16 ans + (violence)
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L'Ombre blanche (The Glimmer Man)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

É.-U. 1996. Drame policier de John Gray avec Steven Seagal, Keenen Ivory Wayans, Bob Gunton.

En enquêtant sur des meurtres en série, deux détectives mettent au jour les activités d'une bande de gangsters. Ramassis de clichés propres au cinéma d'action de série B. Intrigue laborieuse. Touches d'humour tombant à plat. Technique correcte. Jeu insipide de S. Seagal.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
D'origine new-yorkaise, le détective Jack Cole est un homme au passé mystérieux qui pratique le bouddhisme, ce qui ne l'empêche pas de recourir à la violence extrême dans l'exercice de son métier. Fraîchement installé à Los Angeles, il devient le partenaire de Jim Campbell, un jeune Noir célibataire qui se montre plutôt perplexe face aux idiosyncrasies de Jack. En enquêtant sur les crimes d'un meurtrier en série, les deux flics mettent à jour les activités d'une bande de gangsters.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Impossible de dénicher la moindre idée nouvelle dans ce ramassis de lieux communs propres au cinéma policier américain. Le début du film (en particulier le générique) imite sans vergogne le récent SEVEN, tant sur le plan esthétique que thématique. La suite rassemble pêle-mêle un éventail exhaustif des clichés les plus éculés du cinéma d'action de série B, à commencer par le duo de partenaires policiers dépareillés. Malgré l'afflux habituel de poursuites automobiles, de fusillades, d'explosions et de combats d'arts martiaux, l'intrigue elle-même s'avère laborieuse et peu captivante, surtout qu'on y retrouve peu de suspense et de mystère. Le scénariste a cru bon d'alléger le tout avec des touches d'humour qui tombent malheureusement à plat. Il faut dire que Steven Seagal est aussi peu doué dans la comédie que dans le drame. Le réalisateur s'en tire correctement sur le plan technique, mais son travail demeure routinier et dépourvu de personnalité.

Texte : Martin Girard

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