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Joe's Apartment

É.-U. 1996. Comédie fantaisiste de John Payson avec Jerry O'Connell, Megan Ward, Robert Vaughn. Un jeune homme emménage à New York dans un appartement où prolifèrent des milliers de joyeux cafards parlants. Adaptation d'un court métrage tourné pour MTV. Mélange habile d'animation et de situations réelles. Salmigondis de clichés. Humour grossier. Numéros musicaux divertissants. Interprétation agitée.

13 ans +
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Joe's Apartment (Joe's Apartment)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1996. Comédie fantaisiste de John Payson avec Jerry O'Connell, Megan Ward, Robert Vaughn.

Un jeune homme emménage à New York dans un appartement où prolifèrent des milliers de joyeux cafards parlants. Adaptation d'un court métrage tourné pour MTV. Mélange habile d'animation et de situations réelles. Salmigondis de clichés. Humour grossier. Numéros musicaux divertissants. Interprétation agitée.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Arrivant de l'Iowa, Joe se cherche un emploi et un appartement à New York. Il déniche ce dernier dans un immeuble isolé tellement insalubre et délabré qu'il est inhabité. Joe y découvre cependant cinquante mille joyeux cafards doués de la parole qui adorent chanter, danser et manger. Les cancrelats se lient d'amitié avec le cancre et le protègent contre les plans d'un vil promoteur immobilier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien que reprenant un sujet similaire au dessin animé japonais TWILIGHT OF THE COCKROACHES (1987), ce film transpose en fait sur grand écran la trame d'un court métrage produit pour MTV en 1992 par le même cinéaste. Il va sans dire que le public visé est celui des adolescents branchés, mais il faudrait que ces jeunes soient bien indulgents pour apprécier ce salmigondis de situations et de personnages dignes des pires clichés. Mélangeant décors réels et acteurs avec des bestioles animées image par image, la réalisation comporte certes sa part d'ingéniosité et révèle des trucages plutôt habiles, mais l'humour grossier et scatologique ainsi que la minceur du propos finissent par lasser. Seuls les entraînants numéros musicaux auxquels se livrent les blattes contribuent au divertissement momentané du spectateur. Les interprètes s'agitent du mieux qu'ils peuvent pour rivaliser avec les trépidants insectes.

Texte : André Caron

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