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Hellraiser: L'Apogée (Hellraiser: Bloodline)

G.-B. 1996. Drame d'horreur de Alan Smithee avec Bruce Ramsay, Valentina Vargas, Doug Bradley. En 2127, le descendant d'un inventeur français du 18e siècle lutte contre un démon que son ancêtre a lâché sur la terre. Quatrième volet de la série "Hellraiser". Scénario prétexte à une enfilade de scènes sadiques d'une violence extrême. Ensemble lassant et répétitif. Interprétation nulle.

18 ans +
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Hellraiser: L'Apogée (Hellraiser: Bloodline)

18 ans + 18 ans +

G.-B. 1996. Drame d'horreur de Alan Smithee avec Bruce Ramsay, Valentina Vargas, Doug Bradley.

En 2127, le descendant d'un inventeur français du 18e siècle lutte contre un démon que son ancêtre a lâché sur la terre. Quatrième volet de la série "Hellraiser". Scénario prétexte à une enfilade de scènes sadiques d'une violence extrême. Ensemble lassant et répétitif. Interprétation nulle.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
En 2127, le docteur Merchant est accusé du sabotage d'une station spatiale. Dans sa cellule, il raconte que son ancêtre français, Philippe Le Marchand, a inventé au 18e siècle un cube diabolique qui a permis de lâcher un démon sur la terre. Cet esprit malin a poursuivi les descendants de l'inventeur dans le but d'amplifier ses pouvoirs. Le docteur a conçu l'arme ultime pour briser le maléfice.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce quatrième volet de la série Hellraiser s'annonce décevant dès le générique. En effet, le film est signé Alan Smithee, pseudonyme utilisé quand le véritable réalisateur se retire du projet et refuse d'apposer son nom. Il est pourtant difficile de concevoir comment ce produit en série aurait pu être amélioré tant la trame sent le réchauffé. On essaie bien de dérouter les fans du genre en ouvrant sur une séquence de science-fiction, mais on les catapulte bientôt dans l'ambiance attendue de démembrement et d'incantations cabalistiques d'usage. L'aspect répétitif des scènes de tortures perpétrées par l'infâme mais néanmoins célèbre Pinhead finit par lasser, d'autant que rien de neuf ne vient soutenir l'intérêt. Si les maquillages et les effets spéciaux sont plutôt réussis, le jeu des interprètes laisse fortement à désirer. C'est sans doute pourquoi leurs personnages meurent tous à la fin!

Texte : André Caron

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