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Flipper

É.-U. 1996. Aventures de Alan Shapiro avec Elijah Wood, Paul Hogan, Chelsea Field. Un adolescent contraint de passer l'été avec son oncle pêcheur se lie d'amitié avec un dauphin menacé par les manoeuvres d'un pollueur. Nouvelle version des aventures d'un célèbre cétacé. Récit prévisible et avare de péripéties. Quelques incohérences. Réalisation fonctionnelle. Interprétation convenable.

Général
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Flipper (Flipper)

Général Général

É.-U. 1996. Aventures de Alan Shapiro avec Elijah Wood, Paul Hogan, Chelsea Field.

Un adolescent contraint de passer l'été avec son oncle pêcheur se lie d'amitié avec un dauphin menacé par les manoeuvres d'un pollueur. Nouvelle version des aventures d'un célèbre cétacé. Récit prévisible et avare de péripéties. Quelques incohérences. Réalisation fonctionnelle. Interprétation convenable.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Universal
Sa mère étant en instance de divorce, l'adolescent Sandy doit passer l'été chez son oncle Porter, un pêcheur qui habite une île dans le Sud. Révolté et maussade, Sandy trouve un exutoire dans la récente complicité qu'il a développée avec un dauphin à qui il a sauvé la vie. La famille de l'intelligent cétacé, baptisé Flipper, est cependant menacée par Dirk Moran, un pêcheur qui déverse secrètement des produits toxiques dans la mer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les aventures de cet attachant dauphin ont déjà fait l'objet de trois longs métrages et d'une série télévisée dans les années 1960. Cette nouvelle version se distingue par son contexte plus contemporain, c'est-à-dire celui des familles éclatées et des nouvelles préoccupations environnementales. Mais pour le reste, le film suit le schéma largement prévisible des nombreux récits d'amitié entre un animal et un jeune humain, bons sentiments et humour en prime. Par ailleurs, les péripéties palpitantes se font rares et le scénario souffre de certaines incohérences, tandis que le personnage de Sandy n'apparaît pas toujours crédible, compte tenu de son âge. On ne peut nier toutefois l'habileté des dresseurs de cétacés et celle des concepteurs des animaux robotisés qui prennent imperceptiblement le relais. La mise en scène s'avère fonctionnelle et l'interprétation est dans la note voulue.

Texte : Louis-Paul Rioux

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