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L'Espion aux pattes de velours (That Darn Cat)

É.-U. 1996. Comédie fantaisiste de Bob Spiers avec Christina Ricci, Doug E. Doug, Dean Jones. Grâce au chat d'une adolescente, des enquêteurs parviennent à découvrir l'emplacement du repaire de deux kidnappeurs. Péripéties routinières mais assez vivantes. Humour loufoque agréable à défaut d'être original. Réalisation de métier. Bonne interprétation de C. Ricci.

Général
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L'Espion aux pattes de velours (That Darn Cat)

Général Général

É.-U. 1996. Comédie fantaisiste de Bob Spiers avec Christina Ricci, Doug E. Doug, Dean Jones.

Grâce au chat d'une adolescente, des enquêteurs parviennent à découvrir l'emplacement du repaire de deux kidnappeurs. Péripéties routinières mais assez vivantes. Humour loufoque agréable à défaut d'être original. Réalisation de métier. Bonne interprétation de C. Ricci.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Scott Alexander
Larry Karaszewski
D'après le roman de Gordon Gordon
D'après le roman de Mildred Gordon
Photographie :
Musique :
Montage :
Patti Randall traverse une petite crise d'adolescence du fait que son patelin natal et ses habitants ne lui inspirent qu'un profond ennui. Un soir, son chat D.C. s'introduit dans une maison où se trouvent deux criminels et la femme qu'ils ont kidnappée. Celle-ci en profite pour passer au cou de l'animal sa montre-bracelet sur laquelle elle a griffonné un appel à l'aide. Patti découvre ce message et collabore alors avec les enquêteurs qui doivent suivre D.C. dans chacun de ses déplacements, dans l'espoir qu'il les conduira au repaire des ravisseurs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après 101 DALMATIANS, les studios Disney proposent un autre remake d'un de leurs succès du passé. Mais puisqu'il ne s'agit pas cette fois de transposer en action réelle un récit filmé à l'origine en dessin animé, THAT DARN CAT n'offre donc rien d'autre qu'une simple modernisation. La principale différence entre cette version et celle des années 1960 tient sans doute dans la personnalité de l'héroïne. De l'adolescente gentille et proprette de la version ancienne on passe à la jeune fille sombre et tourmentée jouée par Christina Ricci. Cette dernière confère à cette version une saveur "années 1990" indéniable. Pour le reste, il s'agit d'une comédie familiale passablement routinière, mais menée de façon assez vivante. Le réalisateur maintient un climat d'humour loufoque agréable, à défaut d'être hilarant ou original. La réalisation possède l'habileté technique requise et l'interprétation de Christina Ricci ne manque pas d'assurance.

Texte : Martin Girard

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