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Cité de l'industrie (City of Industry)

É.-U. 1997. Drame policier de John Irvin avec Harvey Keitel, Stephen Dorff, Famke Janssen. Un criminel tente de retrouver la trace d'un ancien complice qui s'est enfui avec le magot d'un vol après avoir tué les autres membres de leur gang. Polar ultraviolent aux éléments très familiers. Style vigoureux au début mais plutôt laborieux par la suite. Bonne interprétation de H. Keitel.

16 ans + (violence)
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Cité de l'industrie (City of Industry)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

É.-U. 1997. Drame policier de John Irvin avec Harvey Keitel, Stephen Dorff, Famke Janssen.

Un criminel tente de retrouver la trace d'un ancien complice qui s'est enfui avec le magot d'un vol après avoir tué les autres membres de leur gang. Polar ultraviolent aux éléments très familiers. Style vigoureux au début mais plutôt laborieux par la suite. Bonne interprétation de H. Keitel.

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Le malfaiteur Lee Egan veut se libérer du monde criminel de Los Angeles et aller vivre en paix ailleurs. Il met donc au point un ultime cambriolage avec l'aide de son frère Roy et de deux complices, Jorge et Skip. L'opération se déroule sans bavure et les quatre criminels se réunissent comme prévu pour partager le magot. C'est alors que Skip brandit un revolver et abat de sang froid Lee et Jorge. Seul Roy parvient à s'enfuir sain et sauf. Une chasse à l'homme s'engage alors entre les deux bandits, l'un et l'autre devenant tour à tour proie ou prédateur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Source d'inspiration apparemment inépuisable pour les cinéastes indépendants américains, le film de gangsters commence néanmoins à se tarir sérieusement, du moins dans les longs métrages qui cherchent de façon trop évidente à imiter le style d'un Quentin Tarantino. CITY OF INDUSTRY appartient à cette catégorie d'imitations plus ou moins inspirées de RESERVOIR DOGS et PULP FICTION. La présence d'Harvey Keitel au générique facilite évidemment le rapprochement, mais en même temps on doit bien admettre que cet excellent acteur constitue l'intérêt principal de ce polar ultraviolent. Filmée de façon assez évocatrice dans divers quartiers bien choisis de Los Angeles, l'intrigue demeure cependant familière et sans surprise. Le début du film (la préparation du vol) accroche l'intérêt par son style vigoureux et plein d'assurance, mais par la suite le rythme devient plutôt laborieux. Le film dégénère ainsi jusqu'aux scènes finales, que l'on dirait sorties d'une quelconque série B.

Texte : Martin Girard

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