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Caboose

Can. 1996. Drame policier de Richard Roy avec Gildor Roy, Céline Bonnier, James Hyndman. Croyant sa vie menacée, un policier démissionnaire engage une jeune collègue inexpérimentée pour protéger ses arrières. Vision originale des bas-fonds de Montréal. Scénario conventionnel aux personnages stéréotypés. Traitement appuyé et artificiel. Réalisation stylisée. Distribution de première force.

16 ans +
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Caboose (Caboose)

16 ans + 16 ans +

Can. 1996. Drame policier de Richard Roy avec Gildor Roy, Céline Bonnier, James Hyndman.

Croyant sa vie menacée, un policier démissionnaire engage une jeune collègue inexpérimentée pour protéger ses arrières. Vision originale des bas-fonds de Montréal. Scénario conventionnel aux personnages stéréotypés. Traitement appuyé et artificiel. Réalisation stylisée. Distribution de première force.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Producteurs :
Après avoir tué un collègue corrompu, le détective Marceau démissionne sans être accusé. Se disant menacé à son tour, Marceau recrute comme garde du corps Camille, une jeune femme qui n'a pas réussi à passer l'épreuve finale de l'Institut de police. Plusieurs individus peuvent vouloir tuer Marceau, tant dans la rue que dans la police, mais Camille ne pourra pas le protéger contre lui-même.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Remarqué en 1990 par la réalisation stylisée de son premier film, MOODY BEACH, Richard Roy poursuit sa démarche esthétique avec ce thriller psychologique à saveur policière. Bien qu'il offre un point de vue original sur les bas-fonds de Montréal, Roy traite cependant l'intrigue avec une telle lourdeur et un tel sérieux appuyé que l'ensemble devient rapidement artificiel. Le scénario manque de rigueur, surtout en ce qui concerne les motivations des personnages secondaires qui auraient gagné à mieux s'intégrer à la trame principale. Les auteurs semblent avoir voulu choquer les spectateurs à l'aide d'une enfilade de scènes plus ou moins scabreuses, vulgaires ou violentes. Ils ne parviennent pourtant qu'à reproduire les stéréotypes propres au genre, causant ainsi l'effondrement d'une conclusion tragique peu crédible. La distribution est de première force.

Texte : André Caron

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