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À la gloire des Celtics (Celtic Pride)

É.-U. 1996. Comédie de Tom DeCerchio avec Daniel Stern, Dan Aykroyd, Damon Wayans. Pour assurer la victoire de leur équipe favorite de basket-ball, deux copains kidnappent le joueur vedette de la formation adverse. Satire décevante du fanatisme de certains amateurs de sports. Traitement caricatural. Réalisation plutôt quelconque. Cabotinage des interprètes.

Général
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À la gloire des Celtics (Celtic Pride)

Général Général

É.-U. 1996. Comédie de Tom DeCerchio avec Daniel Stern, Dan Aykroyd, Damon Wayans.

Pour assurer la victoire de leur équipe favorite de basket-ball, deux copains kidnappent le joueur vedette de la formation adverse. Satire décevante du fanatisme de certains amateurs de sports. Traitement caricatural. Réalisation plutôt quelconque. Cabotinage des interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
Pour assurer la victoire de leur équipe favorite de basket-ball, Mike et Jimmy se rendent dans un bar où ils s'arrangent pour saouler le joueur vedette de la formation adversaire. A l'issue de cette beuverie, les deux copains kidnappent l'athlète et le séquestrent dans le but de lui faire rater le match final des éliminatoires.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les comédies situées dans les milieux sportifs ont été légion ces dernières années dans le cinéma américain. Cependant, peu d'entre elles se sont intéressées au phénomène particulier du fanatisme de certains amateurs de sports. Pourtant, l'exaltation que manifestent ceux-ci à l'égard de leurs équipes favorites aurait bien de quoi nourrir l'inspiration d'un bon satiriste. Il faudra malheureusement repasser en ce qui a trait à ce film-ci, car le thème du fanatisme «sportif» y est traité sans mordant. La satire se limite à des considérations évidentes et faciles sur les travers de deux héros dont les vies n'ont pour seul centre d'intérêt que le sport. Caricatural sans être vraiment drôle, le film repose presque entièrement sur l'énergie comique de ses interprètes qui cabotinent plus souvent qu'autrement. Le résultat est dans l'ensemble assez quelconque, d'autant plus que le réalisateur ne démontre pas beaucoup d'imagination dans sa mise en scène.

Texte : Martin Girard

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