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Virtuosité (Virtuosity)

É.-U. 1995. Science-fiction de Brett Leonard avec Denzel Washington, Kelly Lynch, Russell Crowe. Un policier se lance aux trousses d'un tueur humanoïde dont la mémoire artificielle combine l'esprit de plusieurs meurtriers notoires. Ramassis de clichés. Déroulement prévisible. Aspects technologiques assez réussis. Réalisation tapageuse. Jeu intense de D. Washington.

13 ans + (violence)
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Virtuosité (Virtuosity)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1995. Science-fiction de Brett Leonard avec Denzel Washington, Kelly Lynch, Russell Crowe.

Un policier se lance aux trousses d'un tueur humanoïde dont la mémoire artificielle combine l'esprit de plusieurs meurtriers notoires. Ramassis de clichés. Déroulement prévisible. Aspects technologiques assez réussis. Réalisation tapageuse. Jeu intense de D. Washington.

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En 1999, à Los Angeles, le policier Parker Barnes se mesure au criminel ultime, Sid 6.7, une intelligence artificielle combinant plusieurs tueurs notoires et évoluant dans un environnement virtuel. Grâce à une nouvelle technologie, Sid parvient à passer dans le monde réel, laissant derrière lui une traînée de cadavres. Accompagné d'une criminologue, Barnes se lance à la poursuite de cet humanoïde, dont l'une des personnalités s'avère être celle du tueur responsable jadis de la mort de sa femme et de sa fille.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Poursuivant dans la veine de son film THE LAWNMOWER MAN, le réalisateur Brett Leonard explore encore une fois l'univers de la réalité virtuelle sans innover pour autant. Si la séquence d'ouverture impressionne par sa démonstration des possibilités étonnantes des images transformées par l'ordinateur, le reste de cette décoction «science-fictionnesque» est à l'image de son assassin électronique: un ramassis de clichés glanés dans les films d'action récents. La complexité de la technologie présentée contraste donc avec la construction routinière et simpliste du scénario. La réalisation tapageuse se contente d'illustrer une intrigue hautement prévisible reposant sur un manichéisme primaire. Le jeu intense de Denzel Washington et le maniérisme truculent de Russell Crowe apportent cependant une note positive à l'ensemble.

Texte : André Caron

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