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Rafale blanche (White Squall)

É.-U. 1995. Aventures de Ridley Scott avec Jeff Bridges, John Savage, Scott Wolf. Un périple en mer tourne à la tragédie lorsque des vagues de fond provoquent le naufrage d'un voilier. Scénario artificiel. Personnages schématiques. Moments de forte intensité dramatique. Scène du naufrage impressionnante. Interprétation inégale.

Général
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Rafale blanche (White Squall)

Général Général

É.-U. 1995. Aventures de Ridley Scott avec Jeff Bridges, John Savage, Scott Wolf.

Un périple en mer tourne à la tragédie lorsque des vagues de fond provoquent le naufrage d'un voilier. Scénario artificiel. Personnages schématiques. Moments de forte intensité dramatique. Scène du naufrage impressionnante. Interprétation inégale.

Genre :
Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
En 1961, Chuck se joint à l'équipage d'un bateau-école mené par le capitaine Christopher Sheldon, pour un périple de huit mois en mer. Il s'agit d'un voyage ardu, au cours duquel chaque matelot apprend à maîtriser l'art de la navigation, en plus d'avoir à faire face à ses démons personnels. Sur le chemin du retour, une violente tempête cause le naufrage du voilier. Durant l'enquête qui s'ensuit, Chuck et les autres rescapés comprennent le sens véritable du mot solidarité.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Film d'aventures aux allures de rite de passage, White Squall instaure une nouvelle ramification dans le parcours éclectique de Ridley Scott. Ce périple en haute mer se veut un voyage initiatique, sorte de croisement entre Dead Poets Society et un Top Gun nautique. Le scénario accumule néanmoins des éléments propres à une formule toute faite plutôt que d'explorer la dimension directement philosophique qui sous-tend le récit. En conséquence, les personnages s'avèrent grossièrement esquissés et trop schématiques pour qu'on s'y attache vraiment. Le film contient quand même des enjeux dramatiques intenses, qui donnent lieu à quelques séquences d'une force incroyable. Celle du naufrage, impressionne autant par la virtuosité de sa réalisation que par la tension qui s'en dégage. L'excellente photographie rend le tout très séduisant. L'interprétation de J. Bridges est bonne, bien que celle des jeunes nouveaux venus soit par contre fort inégale.

Texte : Alain Dubeau

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