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Le Grill Spitfire (The Spitfire Grill)

É.-U. 1995. Drame social de Lee David Zlotoff avec Alison Elliott, Ellen Burstyn, Marcia Gay Harden. Dans un village, un notable voit d'un mauvais oeil qu'une ancienne détenue devienne serveuse dans un restaurant local. Variations familières sur les thèmes de la rédemption et du pardon. Facture technique très télévisuelle. Performance acceptable des acteurs.

Général
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Le Grill Spitfire (The Spitfire Grill)

Général Général

É.-U. 1995. Drame social de Lee David Zlotoff avec Alison Elliott, Ellen Burstyn, Marcia Gay Harden.

Dans un village, un notable voit d'un mauvais oeil qu'une ancienne détenue devienne serveuse dans un restaurant local. Variations familières sur les thèmes de la rédemption et du pardon. Facture technique très télévisuelle. Performance acceptable des acteurs.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
À sa sortie de prison, la jeune Percy Talbott s'installe à Gilead dans le Maine. Elle se déniche un emploi de serveuse dans un restaurant appartenant à Hannah, une femme d'âge mûr au tempérament irascible. Les villageois voient d'un mauvais oeil l'arrivée de cette ancienne détenue. L'homme d'affaires Nahum Goddard en est particulièrement irrité, car il veut à tout prix éviter les scandales qui risquent de nuire à la relance économique de la petite communauté. Il décide donc d'envoyer son épouse espionner chez Hannah sous prétexte d'aider celle-ci.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ces derniers temps, plusieurs films (FRIED GREEN TOMATOES, GAS FOOD LODGING,...) ont abordé le thème de la difficulté d'intégration dans les petites communautés. Comparativement à ces oeuvres, The Spitfire Grill ne propose guère de regard bien neuf. Des sujets possédant un certain potentiel tels que le pardon et la rédemption sont bien mis de l'avant, mais le propos a tendance à être martelé par de longs dialogues qui auraient été avantageusement remplacés par des actions filmées. Cela aurait certainement donné un peu plus de rythme à l'ensemble. Certains pourraient également reprocher au traitement très télévisuel de L.D. Zlotoff une propension au cliché qu'affichent en général les réalisateurs du petit écran. Néanmoins, le récit possède suffisamment de ramifications complexes qui tentent tant bien que mal d'illustrer les dilemmes personnels des protagonistes. De plus, les quelques défauts d'écriture sont souvent rachetés par la bonne performance des acteurs.

Texte : Christian Depoorter

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