Le Caillou et le pingouin (The Pebble and the Penguin)

Name: Caillou et le pingouin, Le
Director: Don Bluth
Genre: Dessins animés
Duration: 74 min.

Irl. 1995. Dessins animés de Don Bluth . Capturé par des chasseurs et emmené dans un pays lointain, un jeune pingouin doit surmonter bien des périples pour retourner chez lui. Histoire conventionnelle. Numéros musicaux faibles. Quelques passages spectaculaires. Graphisme soigné mais sans originalité.

Le Caillou et le pingouin (The Pebble and the Penguin)

Général (pour enfants)

Irl. 1995. Dessins animés de Don Bluth .

Capturé par des chasseurs et emmené dans un pays lointain, un jeune pingouin doit surmonter bien des périples pour retourner chez lui. Histoire conventionnelle. Numéros musicaux faibles. Quelques passages spectaculaires. Graphisme soigné mais sans originalité.

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Genre :

Dessins animés

Année :

1995

Durée :

74 min.

Réalisation :

Don Bluth

Pays :

Irlande

Distributeur :

MGM

Le jeune pingouin Hubie aime tendrement la belle Marina, sans pourtant oser lui déclarer ses sentiments. Il compte bien cependant profiter de la prochaine saison des accouplements pour lui offrir une pierre en gage d'amour, comme le veut la tradition de leur espèce. Mais victime d'un coup bas de son méchant rival Drake, Hubie est capturé par des chasseurs humains et emmené dans un pays lointain. Il devra alors surmonter bien des périples avant de retrouver sa terre natale où l'attend celle qu'il aime.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Don Bluth a toujours apporté beaucoup de soins aux dessins et à l'animation proprement dite de ses productions, comme en témoigne la réussite de THE SECRET OF NIMH, AN AMERICAN TAIL ou THE LAND BEFORE TIME. Malheureusement, ses films plus récents comme A TROLL IN CENTRAL PARK ou ce PEBBLE AND THE PENGUIN accusent une nette régression sur le plan de la conception des histoires et des personnages. Dans ce film-ci, on a droit à une histoire extrêmement conventionnelle où toutes les situations sentent le déjà-vu à plein nez. Les numéros musicaux sont trop faibles pour vraiment arracher l'ensemble à la routine et, seuls, deux ou trois passages spectaculaires surnagent. Parmi ceux-ci, mentionnons l'impressionnante séquence de l'attaque des baleines. Techniquement, le film se situe dans la bonne moyenne du genre, avec un graphisme soigné mais sans originalité.

Texte : Martin Girard

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