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La Vie cachée de Lauren (Separate Lives)

É.-U. 1995. Thriller de David Madden avec James Belushi, Linda Hamilton, Vera Miles. Une enseignante qui souffre d'un dédoublement de la personnalité pense avoir commis un meurtre alors qu'elle était sous l'influence de son alter ego. Données psychologiques ridicules. Suspense alimenté à coup d'effets faciles et gratuits. Réalisation bâclée. Interprètes peu crédibles.

13 ans +
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La Vie cachée de Lauren (Separate Lives)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1995. Thriller de David Madden avec James Belushi, Linda Hamilton, Vera Miles.

Une enseignante qui souffre d'un dédoublement de la personnalité pense avoir commis un meurtre alors qu'elle était sous l'influence de son alter ego. Données psychologiques ridicules. Suspense alimenté à coup d'effets faciles et gratuits. Réalisation bâclée. Interprètes peu crédibles.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Malofilm
Lauren Porter est une jeune enseignante en psychologie qui souffre d'un dédoublement de la personnalité. Certains indices lui font croire qu'elle pourrait avoir commis un meurtre alors qu'elle était sous l'influence de son alter ego. Pour l'aider à découvrir la vérité, la jeune femme décide d'enrôler un de ses propres étudiants, un ancien détective.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le cas de dédoublement de la personnalité sur lequel repose cette intrigue est présenté de façon tellement simpliste et peu crédible que le suspense qui en découle tombe d'entrée de jeu dans le ridicule. Rien ne vient racheter cette faiblesse, car tous les autres aspects du film sont à l'avenant. L'intrigue accumule les situations artificielles et les clichés sans jamais réserver la moindre surprise véritable au spectateur. Le climat de mystère et d'angoisse est entretenu à coup d'effets faciles et souvent gratuits que l'on sent venir à des kilomètres à la ronde. L'ensemble de la réalisation ne fait qu'accentuer le ratage du scénario par son caractère banal et parfois même bâclé, comme en témoigne une photographie médiocre. James Belushi n'a pas du tout le physique de l'emploi et Linda Hamilton ne parvient jamais à exprimer de façon convaincante le trouble psychologique de son personnage.

Texte : Martin Girard

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