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Jade

É.-U. 1995. Drame policier de William Friedkin avec David Caruso, Linda Fiorentino, Chazz Palminteri. Enquêtant sur le meurtre d'un millionnaire, un procureur découvre des secrets troublants au sujet de son ancienne maîtresse qui fait partie des suspects. Thriller pimenté de sexe et de violence. Feintes narratives artificielles. Technique habile. Interprétation honorable de personnages mal définis.

16 ans + (violence, érotisme)
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Jade (Jade)

16 ans + (violence, érotisme) 16 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 1995. Drame policier de William Friedkin avec David Caruso, Linda Fiorentino, Chazz Palminteri.

Enquêtant sur le meurtre d'un millionnaire, un procureur découvre des secrets troublants au sujet de son ancienne maîtresse qui fait partie des suspects. Thriller pimenté de sexe et de violence. Feintes narratives artificielles. Technique habile. Interprétation honorable de personnages mal définis.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Paramount
Le procureur David Corelli enquête sur le meurtre d'un millionnaire renommé de San Francisco. Plusieurs indices l'amènent à soupçonner son ancienne maîtresse Trina, sur qui l'enquête révèle des secrets troublants. Or, celle-ci est maintenant l'épouse de Matt, un puissant avocat qui entretient des liens d'amitié avec David. Malgré ce conflit d'intérêt, Corelli poursuit son investigation. L'affaire se corse lorsque des témoins sont à leur tour victimes d'un mystérieux meurtrier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le scénariste de BASIC INSTINCT remet ça. A quelques différences près, JADE reprend les mêmes ingrédients faisandés et la même recette facile que ceux utilisés dans le succès du réalisateur Paul Verhoeven. San Francisco sert de nouveau de toile de fond à une intrigue policière pimentée de sexe, de rapports ambigus entre des personnages désaxés, de poursuites en automobiles et de meurtres bien saignants. Malgré les feintes narratives qu'il multiplie artificiellement pour entretenir le mystère entourant l'identité du coupable, le scénariste ne parvient pas à tromper le spectateur qui voit tout venir à l'avance. Quelques passages profitent pleinement de l'habileté technique incontestable du vétéran William Friedkin, mais le résultat d'ensemble laisse indifférent. Les interprètes campent honorablement des personnages mal définis.

Texte : Martin Girard

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