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Frankie (Frankie Starlight)

Irl. 1995. Drame psychologique de Michael Lindsay-Hogg avec Anne Parillaud, Corban Walker, Alan Pentony. Une jeune femme démunie qui vient de mettre au monde un nain est secourue par un officier qui s'attache à l'enfant. Scénario d'un onirisme surprenant. Ellipses plus ou moins heureuses. Réalisation académique. Jeu convaincant d'A. Pentony dans le rôle titre.

13 ans +
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Frankie (Frankie Starlight)

13 ans + 13 ans +

Irl. 1995. Drame psychologique de Michael Lindsay-Hogg avec Anne Parillaud, Corban Walker, Alan Pentony.

Une jeune femme démunie qui vient de mettre au monde un nain est secourue par un officier qui s'attache à l'enfant. Scénario d'un onirisme surprenant. Ellipses plus ou moins heureuses. Réalisation académique. Jeu convaincant d'A. Pentony dans le rôle titre.

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Réfugiée sur un navire militaire après le débarquement de Normandie, Bernadette est refoulée en Irlande où, sans le sou, elle met au monde un nain qu'elle baptise Frankie. La jeune femme est secourue par un officier des douanes, qui s'attache à l'enfant et lui enseigne l'astronomie. Les années passent. Abandonnée par un amant et enceinte de nouveau, Bernadette finit par se suicider. Devenu écrivain à succès, Frankie remue tous ces douloureux souvenirs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien qu'adapté du best-seller de Chet Raymo, le scénario de ce film comporte plusieurs similitudes avec le canevas de MY LEFT FOOT du même producteur, par le fait qu'il exploite les mêmes thèmes de l'émancipation d'un handicapé physique, ses rapports privilégiés avec sa mère, son combat social et son aboutissement par un mariage. Malheureusement, cette production ne dégage pas l'intensité psychologique, voire l'universalité, du modèle. FRANKIE STARLIGHT est un film rempli de contradictions. Le scénario, d'une belle naïveté et d'un onirisme surprenant, n'est pas mis en valeur par la réalisation académique et télévisuelle de Michael Lindsay-Hogg. De plus, la musique d'Elmer Bernstein, fort belle mais pas trop mélodramatique, asphyxie les images et dirige le film sur des sentiers apparemment opposés à ceux suggérés par le scénario. Enfin, les nombreux sauts dans le temps semblent cacher des séquences restées sur la table de montage, même si leur absence ne nuit pas trop à la continuité logique. Reste que le jeune Alan Pentony, dans le rôle du jeune Frankie, est excellent.

Texte : Martin Bilodeau

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