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Candyman 2 (Candyman - Farewell to the Flesh)

Samedi 04 Mai à 08:55 | Frissons TVMercredi 08 Mai à 14:55 | Frissons TV

É.-U. 1995. Drame d'horreur de Bill Condon avec Tony Todd, Kelly Rowan, Timothy Carhart. Un spectre meurtrier convoite une jeune femme comme compagne éternelle. Rabâchage convenu des éléments forts du premier épisode. Scénario tarabiscoté et laborieux. Bande sonore tonitruante. Technique au point. Interprétation valable.

13 ans + (violence, horreur)
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Candyman 2 (Candyman - Farewell to the Flesh)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1995. Drame d'horreur de Bill Condon avec Tony Todd, Kelly Rowan, Timothy Carhart.

Un spectre meurtrier convoite une jeune femme comme compagne éternelle. Rabâchage convenu des éléments forts du premier épisode. Scénario tarabiscoté et laborieux. Bande sonore tonitruante. Technique au point. Interprétation valable.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
Persuadée de l'innocence de son frère qui est accusé d'un meurtre bizarre, Annie mène sa propre enquête et conclut que l'assassin serait en fait un spectre appelé Candyman. Ce démon serait lié au passé familial d'Annie qu'il convoite comme compagne éternelle. La jeune femme trouve le moyen de détruire le monstre, mais pas avant que celui-ci ait fait des victimes parmi les siens.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sans révolutionner le genre, le premier CANDYMAN offrait aux amateurs de fantastique une bonne dose de frissons et de mystère bien mijotés. Malheureusement, cette nouvelle production se contente de remâcher les éléments forts de son prédécesseur sans en posséder l'originalité et l'efficacité. Le scénario tarabiscoté et laborieux ne parvient que rarement à créer le suspense voulu et n'accroche ainsi l'intérêt que de façon intermittente. Les effets-chocs gratuits dominent les efforts de l'auteur qui tartine sa production d'une bande sonore tonitruante. Néanmoins, quelques scènes, fort bien troussées techniquement, parviennent à impressionner et la musique de Philip Glass crée parfois un sentiment d'inquiétude valable. Les interprètes campent avec une certaine conviction des personnages schématiques.

Texte : Martin Girard

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