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Barb Wire

É.-U. 1995. Science-fiction de David Hogan avec Pamela Anderson, Temuera Morrison, Jack Noseworthy. En 2017, une chasseuse de primes tente vainement de rester neutre dans la guerre civile qui ravage les États-Unis. Transposition d'une bande dessinée. Univers à la "Mad Max" manquant de fantaisie. Réalisation technique valable. P. Anderson Lee plus imposante que convaincante.

13 ans + (violence)
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Barb Wire (Barb Wire)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1995. Science-fiction de David Hogan avec Pamela Anderson, Temuera Morrison, Jack Noseworthy.

En 2017, une chasseuse de primes tente vainement de rester neutre dans la guerre civile qui ravage les États-Unis. Transposition d'une bande dessinée. Univers à la "Mad Max" manquant de fantaisie. Réalisation technique valable. P. Anderson Lee plus imposante que convaincante.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
En 2017, une guerre civile oppose le gouvernement dictatorial des États-Unis à la résistance. Tenancière d'un club de nuit dans la seule ville libre du pays, Barb Wire est aussi chasseuse de primes à l'occasion. Elle ne se montre pas très empressée à aider un ancien amant qui cherche à fuir vers le Canada avec une dissidente importante. Cependant, le harcèlement dont elle est victime de la part de l'armée lui fait changer d'avis.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Transposition au grand écran des aventures d'un personnage de "Comic Book", ce panaché de bruit et de fureur n'est pas prêt de supplanter BARBARELLA, un film-culte de 1968 centré également sur une héroïne de bandes dessinées aussi pulpeuse que courageuse. Il existe bien une certaine similitude dans la recette de base de ces deux sciences-fictions aux péripéties extravagantes mâtinées d'un léger érotisme. Cependant, l'univers à la MAD MAX et le ton désabusé de l'héroïne n'expriment pas suffisamment de fantaisie pour démarquer BARB WIRE de la production courante, même si le fond de l'intrigue n'est pas sans rappeler CASABLANCA. Le schématisme des personnages et le manque de consistance des développements ne laissent guère l'envie de s'attarder sur les qualités professionnelles de l'équipe technique. Les attributs physiques de Pamela Anderson Lee sont peut-être aussi imposants que ceux que possédait Jane Fonda, l'héroïne de Barbarella, il n'en reste pas moins que reposer ses talents d'actrice sur sa seule plastique ne peut en aucun cas garantir la longévité d'une carrière.

Texte : Christian Depoorter

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