Une Pure Formalité (Una pura formalità)

Name: Pure Formalité, Une
Director: Giuseppe Tornatore
Genre: Drame policier
Duration: 111 min.

It. 1994. Drame policier de Giuseppe Tornatore avec Gérard Depardieu, Roman Polanski, Sergio Rubini. Impliqué dans des événements tragiques dont il n'a aucun souvenir, un écrivain est interrogé toute une nuit par un commissaire énigmatique. Huis clos aux accents kafkaïens. Climat glauque et oppressant. Mise en scène pleine d'aisance. Impressionnant duel d'acteurs.

Une Pure Formalité (Una pura formalità)

Général

It. 1994. Drame policier de Giuseppe Tornatore avec Gérard Depardieu, Roman Polanski, Sergio Rubini.

Impliqué dans des événements tragiques dont il n'a aucun souvenir, un écrivain est interrogé toute une nuit par un commissaire énigmatique. Huis clos aux accents kafkaïens. Climat glauque et oppressant. Mise en scène pleine d'aisance. Impressionnant duel d'acteurs.

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Genre :

Drame policier

Année :

1994

Durée :

111 min.

Réalisation :

Giuseppe Tornatore

Pays :

Italie
France

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Gérard Depardieu
Roman Polanski
Sergio Rubini

Arrêté en pleine nuit errant sous la pluie, un homme est amené dans un sordide bureau de police dégoulinant de partout. Interrogé par le commissaire, l'homme prétend être le célèbre écrivain Onoff. Après un temps de scepticisme, les policiers finissent par se rendre à l'évidence. Bien que grand admirateur de son oeuvre, le commissaire continue de harceler Onoff de questions sur son emploi du temps de la journée. L'écrivain se contredit maintes fois et, quand arrive le moment de décrire sa soirée, les images s'embrouillent dans son esprit. Petit à petit, l'enquête prend forme et le commissaire amène Onoff a faire la lumière sur de tragiques événements.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Débutant sur un surprenant coup de poing visuel et sonore et finissant sur une note fantastique, ce huis clos aux accents kafkaïens n'est pas sans rappeler le ton de claustrophobie de THE TRIAL. Sans pousser plus loin la comparaison, on y retrouve un goût identique pour le climat glauque et oppressant dans le cadre d'une parabole sur notre faculté d'oubli des moments douloureux de l'existence. Cette démarche stylisée est peut-être moins heureuse dans les dialogues concernant le phénomène de la création littéraire, néanmoins l'aisance de la mise en scène pallie cette impression d'artificialité. Les interprètes vedettes se livrent à un duel impressionnant.

Texte : Christian Depoorter

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