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Un Homme presque parfait (Nobody's Fool)

É.-U. 1994. Drame psychologique de Robert Benton avec Paul Newman, Jessica Tandy, Melanie Griffith. Un sexagénaire insouciant prend peu à peu conscience de ses responsabilités lorsque son fils qu'il connaît à peine revient en ville. Observation attentive des relations aussi bien sentimentales que sociales. Psychologie raffinée des personnages. Humour fin. Interprétation de qualité.

Général
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Un Homme presque parfait (Nobody's Fool)

Général Général

É.-U. 1994. Drame psychologique de Robert Benton avec Paul Newman, Jessica Tandy, Melanie Griffith.

Un sexagénaire insouciant prend peu à peu conscience de ses responsabilités lorsque son fils qu'il connaît à peine revient en ville. Observation attentive des relations aussi bien sentimentales que sociales. Psychologie raffinée des personnages. Humour fin. Interprétation de qualité.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Robert Benton
D'après le roman de Richard Russo
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Paramount
Récompenses
Dans une petite ville américaine, un travailleur de la construction sexagénaire traverse une période difficile, accumulant les mésaventures qu'il a provoquées par son insouciance. Lorsque son fils qu'il connaît peu revient en ville, il prendra peu à peu conscience de ses responsabilités, encouragé en cela par la bienveillance de sa logeuse et par l'épouse de son employeur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'intérêt des films de Robert Benton réside toujours dans la psychologie raffinée de ses personnages. Le déroulement souvent prévisible, quoique réaliste, de ses films (KRAMER VS. KRAMER et PLACES IN THE HEART en sont de bons exemples) lui sert de prétexte à une observation attentive des relations aussi bien sentimentales que sociales de ses protagonistes. Par exemple, au travers du conflit père-fils, qui constitue le moteur de ce film, Benton raconte la vulnérabilité économique des petites villes. Ainsi, le combat rédempteur que livre le héros se développe parallèlement au sauvetage du patrimoine, représenté par la maison ancestrale. Si le rythme lent risque de rebuter certains spectateurs, la musique de Howard Shore et l'humour fin des dialogues sauront les gagner. La qualité de l'interprétation d'ensemble, celle de Paul Newman en tête, finira de les combler.

Texte : Martin Bilodeau

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