The Killing Machine

Name: Killing Machine, The
Director: David Mitchell
Genre: Drame policier
Duration: 96 min.

Can. 1994. Drame policier de David Mitchell avec Jeff Wincott, Terri Hawkes, Michael Ironside. Tenu pour mort, un tueur à gages est recueilli par une agence gouvernementale qui le charge d'espionner une jeune scientifique. Sorte de version masculine du film français "Nikita". Considérations psychologiques et politiques simplistes. Mise en scène fort maladroite. Interprétation lamentable.

The Killing Machine (The Killing Machine)

En attente de classement

Can. 1994. Drame policier de David Mitchell avec Jeff Wincott, Terri Hawkes, Michael Ironside.

Tenu pour mort, un tueur à gages est recueilli par une agence gouvernementale qui le charge d'espionner une jeune scientifique. Sorte de version masculine du film français "Nikita". Considérations psychologiques et politiques simplistes. Mise en scène fort maladroite. Interprétation lamentable.

Fiche du film Ajouter à ma liste

Genre :

Drame policier

Année :

1994

Durée :

96 min.

Réalisation :

David Mitchell

Pays :

Canada

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Jeff Wincott
Terri Hawkes
Michael Ironside

Trahi par les gangsters qui l'employaient, un tueur à gages tenu pour mort est recueilli et soigné par une agence gouvernementale secrète chargée de recruter des assassins. Il se voit ainsi confier la mission d'espionner une jeune scientifique qui se livre à des recherches subversives. Le tueur en vient cependant à s'en faire plutôt le protecteur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce thriller lamentable se présente au début comme une sorte de version masculine de NIKITA. La comparaison se limite cependant aux données de base du récit, car tout le reste est d'un niveau largement inférieur à l'oeuvre de Besson. Les quelques considérations psychologiques et politiques que contient le récit sont tellement simplistes et absurdes qu'on en vient presque à regretter que l'auteur ne se soit pas contenté d'offrir uniquement des scènes d'action. Malheureusement, la maladresse insigne de sa mise en scène rend ces dernières aussi imbuvables que le reste. L'interprétation est grossièrement appuyée.

Texte : Martin Girard

COMMENTAIRES

Ajouter un commentaire

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!