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Tel est pris qui croyait prendre (The Ref)

É.-U. 1994. Comédie satirique de Ted Demme avec Denis Leary, Judy Davis, Kevin Spacey. À la veille de Noël, un cambrioleur activement recherché par la police se réfugie à la pointe du fusil chez un couple bourgeois en pleine crise conjugale. Farce irrévérencieuse sur la famille américaine. Dialogues mordants. Ensemble mené tambour battant. Interprétation d'une belle énergie comique.

13 ans + (langage vulgaire)
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Tel est pris qui croyait prendre (The Ref)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1994. Comédie satirique de Ted Demme avec Denis Leary, Judy Davis, Kevin Spacey.

À la veille de Noël, un cambrioleur activement recherché par la police se réfugie à la pointe du fusil chez un couple bourgeois en pleine crise conjugale. Farce irrévérencieuse sur la famille américaine. Dialogues mordants. Ensemble mené tambour battant. Interprétation d'une belle énergie comique.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
Abandonné par son complice lors d'un cambriolage avorté et activement recherché par la police, Gus se réfugie à la pointe du fusil chez Lloyd et Caroline, un couple bourgeois qui traverse une grave crise conjugale. Or, en cette veille de Noël, les deux otages reçoivent à dîner des membres de leur parenté avec qui ils ne s'entendent guère. De vieilles rancunes refont rapidement surface, si bien que Gus assiste avec stupeur à un règlement de comptes familial dont il devient l'arbitre a son corps défendant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film irrévérencieux fait flèche de tout bois en s'attaquant avec humour à cette institution sacrée qu'est la famille américaine. Pour pimenter encore plus cette joute verbale qui oppose des parents acrimonieux, les auteurs situent l'action en pleine nuit de Noël, créant du coup un effet de contraste entre le décorum traditionnel de la fête et la conduite impertinente des héros. Mené tambour battant sans trop de subtilité mais avec une énergie comique indéniable, l'ensemble se laisse voir avec plaisir. Les dialogues constituent évidemment l'intérêt premier de cet exercice d'écriture mordante, parsemé de répliques empoisonnées. Dans ce contexte, on comprend que la mise en scène se fasse discrète afin de laisser toute la place aux comédiens qui s'en donnent d'ailleurs à coeur joie.

Texte : Martin Girard

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