Radioland Murders

Name: Radioland Murders
Director: Mel Smith
Genre: Comédie
Duration: 93 min.

É.-U. 1994. Comédie de Mel Smith avec Mary Stuart Masterson, Brian Benben, Ned Beatty. Dans les années trente, des membres d'une nouvelle compagnie radiophonique trouvent la mort dans d'étranges circonstances. Récit aux situations et aux dialogues guère originaux. Ton vaudevillesque des comédies d'antan. Jeu sciemment typé de B. Benben.

Radioland Murders (Radioland Murders)

Général

É.-U. 1994. Comédie de Mel Smith avec Mary Stuart Masterson, Brian Benben, Ned Beatty.

Dans les années trente, des membres d'une nouvelle compagnie radiophonique trouvent la mort dans d'étranges circonstances. Récit aux situations et aux dialogues guère originaux. Ton vaudevillesque des comédies d'antan. Jeu sciemment typé de B. Benben.

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Genre :

Comédie

Année :

1994

Durée :

93 min.

Réalisation :

Mel Smith

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Mary Stuart Masterson
Brian Benben
Ned Beatty

Dans les années trente, une nouvelle compagnie radiophonique tente de s'imposer sur les ondes. Le soir de l'inauguration, l'atmosphère s'annonce a la fois tendue et fébrile: les scripteurs se révoltent contre la direction qui les force a modifier leurs textes pour plaire a un important commanditaire, le réalisateur craque sous la pression et Roger, le scénariste principal, tente de reconquérir sa femme Penny qui désire divorcer. Et voilà que, un à un, certains membres de l'équipe trouvent la mort dans d'étranges circonstances. La police est appelée discrètement, pour ne pas nuire au déroulement du spectacle, mais bientôt tous les soupçons convergent vers Roger qui doit alors résoudre l'énigme lui-même.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sortie de l'imaginaire de George Lucas, cette nouvelle production essaie d'adopter le ton vaudevillesque des comédies d'antan et l'humour très physique du slapstick, genre auquel le scénario veut rendre un hommage évident. Si les dialogues et les situations ne brillent guère par leur originalité, le sentiment de déjà-vu s'accorde au ton nostalgique de l'oeuvre, tout comme le jeu de Brian Benben qui, dans le rôle de Roger, récupère à bon escient certains tics d'interprétation répandus dans les années 30. Par contre, le rythme effréné du montage correspond bien plus à l'ère de MTV. La nervosité des personnages et l'ambiance électrisante dans laquelle ils évoluent cachent mal les platitudes du récit.

Texte : Johanne Larue

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