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Poucette (Thumbelina)

É.-U. 1994. Dessins animés de Don Bluth . Une jeune fille minuscule qui rêve à l'amour idéal avec un prince de sa taille est kidnappée par une grenouille qui veut en faire sa bru. Adaptation d'un conte de Hans Christian Andersen. Scénario plutôt mal construit. Alliage réussi d'images digitalisées et d'animation classique. Musique et chansons utilisées à bon escient.

Général (pour enfants)
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Poucette (Thumbelina)

Général (pour enfants) Général (pour enfants)

É.-U. 1994. Dessins animés de Don Bluth .

Une jeune fille minuscule qui rêve à l'amour idéal avec un prince de sa taille est kidnappée par une grenouille qui veut en faire sa bru. Adaptation d'un conte de Hans Christian Andersen. Scénario plutôt mal construit. Alliage réussi d'images digitalisées et d'animation classique. Musique et chansons utilisées à bon escient.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Entourée d'une mère adoptive cajoleuse et des animaux de leur ferme, la minuscule Thumbelina rêve à l'amour idéal avec un prince de sa taille. Cornélius, le prince des fées lui rend visite, une nuit où, seule à sa fenêtre, la jeune fille chante sa solitude. La rencontre amoureuse sera brève: Thumbelina est enlevée par la mère grenouille, qui veut faire d'elle sa bru. La jeune fille s'échappe et tente de retrouver son chemin dans la forêt peuplée d'animaux parfois bons, parfois opportunistes. Peinée d'apprendre la mort de Cornélius, Thumbelina accepte d'épouser la riche marmotte. Mais le prince est-il vraiment mort?

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette adaptation du conte d'Andersen fait preuve à la fois d'un savoir-faire quant au procédé d'animation et d'un amateurisme déconcertant en ce qui concerne la structure du scénario. Alliage réussi d'images digitalisées et d'animation classique, ce film équivaut formellement aux meilleures productions Disney, tout en évitant habilement les principales difficultés inhérentes au genre. La musique et les chansons collent bien à ce récit qui s'en fait le support, au risque de négliger la continuité dramatique qui vacille et s'enchaîne sans trop de cohésion. La conclusion tant attendue est déballée à toute vitesse par des producteurs désireux de respecter une durée adaptée aux enfants en bas âge. Pour les spectateurs, le plaisir du "happy end" en est largement altéré.

Texte : Martin Bilodeau

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